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samedi 2 avril 2016

Un livre/Un film : énigme du samedi

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Pour ceux qui ne connaissent pas Un Livre/un film, l'énigme du samedi, je rappelle la règle du jeu.

Wens de En effeuillant le chrysanthème et moi-même, nous vous proposons, le 1er et le 3ème samedi du mois, un jeu sous forme d'énigme qui unit nos deux passions : La littérature et le cinéma! Il s'intitule : Un livre, Un film. Chez Wens vous devez trouver le film et le réalisateur, chez moi le livre et l'auteur.

Consignes  

Vous pouvez donner vos réponses par mail, adresse que vous trouverez dans mon profil : Qui suis-je? et  me laisser un mot dans les commentaires sans révéler la réponse pour m'avertir de votre participation. Le résultat de l'énigme sera donné le Dimanche.

La prochaine énigme aura lieu le troisième samedi du mois, le 16 Avril

Enigme 125

Le roman dont vous devez découvrir le titre a été publié en pleine époque romantique. Rédigé par un grand auteur français qui s’est par la suite démarqué du romantisme, il peint la vie artificielle et vaine de la noblesse parisienne au temps de la première restauration sous Louis XVIII. Il raconte l’histoire d’une femme qui va finir ses jours au couvent, victime à la fois de son amour, des lois antiféministes qui régissent la société,  et  d’elle-même, car elle possède « un esprit éminemment orgueilleux, un coeur froid, une grande soumission aux usages du monde ».


Si vous tentez à faire un éclat, je connais le sire, je ne l’aime guère. (Votre mari) est assez avare, personnel en diable; il se séparera de vous, gardera votre fortune, vous laissera pauvre, et conséquemment sans considération. Les cent mille livres de rente que vous avez héritées dernièrement de votre grand tante maternelle payeront les plaisirs de ses maîtresses, et vous serez liée, garrottée par les lois, obligée de dire amen à ces arrangements-là.

Renoncez à votre salut en deux minutes, s’il vous plaît de vous damner; d’accord! Mais réfléchissez bien quand il s’agit de renoncer à vos rentes. Je ne connais pas de confesseur qui nous absolve de la misère.

Une imprudence, c’est un pension, une vie errante, être à la merci de son amant; c’est l’ennui causé par les impertinences des femmes qui vaudront moins que toi, précisément parce qu’elles auront été très ignoblement adroites. Il valait cent fois mieux aller chez (ton amant), le soir, en fiacre, déguisée, que d’y envoyer ta voiture en plein jour. Tu es une petite sotte, chère enfant.



5 commentaires:

  1. Bonjour. Pour l'auteur je n'ai pas hésité mais j'ai pris un peu de temps pour le roman. Bonne journée.

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  2. Bonjour Claudialucia, c'est grâce au film chez Wens que j'ai découvert le roman (je ne l'ai jamais lu). Bon samedi.

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  3. Ça a été dur ce matin, mais j'ai fini par trouver.

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  4. comme Aifelle mais j'avais du temps pour chercher

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  5. Comme j'ai du retard, je lis les billets du samedi aujourd'hui lundi ! Je ne sais pas si j'aurais trouvé et pourtant j'ai le livre dans ma PAL !

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