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samedi 28 avril 2012

Un livre/un film : Enigme n° 31





 
Nous sommes absents jusqu'à mardi mais l'énigme du samedi et sa réponse le dimanche ont été planifiés! Alors il va falloir vous débrouiller tout seuls, comme des grands! Nous ne vous répondrons pas mais laissez nous des messages avec des indices pour vous aider ceux qui ont des difficultés. Quand nous reviendrons, nous mettrons à jour la liste de ceux qui ont trouvé le résultat! Enigme beaucoup plus facile, je crois, que celui de la semaine dernière!
 


Wens de En effeuillant le chrysanthème et moi-même, nous vous proposons, le samedi, un jeu sous forme d'énigme qui unit nos deux passions : La littérature et le cinéma! Il s'intitule : Un livre, Un film.

Chez Wens vous devez trouver le film et le réalisateur, chez moi le livre et l'auteur.
Consignes :  Vous pouvez donner vos réponses par mail que vous trouverez dans mon profil : Qui suis-je? et  me laisser un mot dans les commentaires sans révéler la réponse pour m'avertir de votre participation. Le résultat de l'énigme et la proclamation des vainqueurs seront donnés le Dimanche.


                                                                        Enigme 31

Le film a été réalisé à partir d'un conte du XVIII extrêmement connu et d'une pièce de théâtre belge de 1913 dont il porte le titre;  et secondairement d'une autre oeuvre du XVII à laquelle il emprunte des images. Quelles sont ces trois oeuvres et leurs auteurs respectifs.
Tout d'un coup, en regardant au bout d'une longue allée d'arbres, il vit une grande lumière, mais qui paraissait bien éloignée. Il marcha de ce côté-là, et vit que cette lumière sortait d'un grand palais qui était tout illuminé. Le marchand remercia Dieu du secours qu'il lui envoyait, et se hâta d'arriver à ce château ; mais il fut bien surpris de ne trouver personne dans les cours. Son cheval, qui le suivait, voyant une grande écurie ouverte, entra dedans, et ayant trouvé du foin et de l'avoine, le pauvre animal, qui mourait de faim, se jeta dessus avec beaucoup d'avidité. Le marchand l'attacha dans l'écurie, et marcha vers la maison, où il ne trouva personne ; mais étant entré dans une grande salle, il y trouva un bon feu, et une table chargée de viande où il n'y avait qu'un couvert. Comme la pluie et la neige l'avaient mouillé jusqu'aux os, il s'approcha du feu pour se sécher, et disait en lui-même : Le maître de la maison ou ses domestiques me pardonneront la liberté que j'ai prise, et sans doute ils viendront bientôt.

4 commentaires:

  1. J'ai l'auteur du conte. C'est amusant ELLE est née à Rouen. Je pars à la recherche de la suite, paresseusement, puisque vous gambadez sous la pluie en Lozère hi hi ...

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  2. Oui mais je ne connaissais pas la pièce belge.

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  3. Une découverte un peu plus approfondie notamment en ce qui concerne la pièce de théâtre.

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  4. Bonjour Claudialucia, d'abord bon week-end en Lozère. Pour le dramaturge belge, je donne ma langue au chat et pour l'auteur du 17ème aussi. Je ne connais qu'ELLE comme l'écrit Aifelle. Bonne journée.

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