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lundi 13 octobre 2025

Bulgarie : Le monastère de Rila

Tsanko Lavrenov : Eglise du monatère de Rila

Pour mon dernier billet du challenge Bulgarie, je terminerai par cette merveille architecturale et picturale, le monastère de Rila, réputé comme le plus beau de Bulgarie. Je n'ai visité que celui-ci mais je dois dire que c'est un souvenir éblouissant et d'abord en raison de son cadre unique, prestigieux, entouré par les montagnes de Rila, dans le massif montagneux des Rhodopes, à 1100 mètres d’altitude. 

Le monastère de Rila a été fondé au Xème siècle par l’ermite, Saint Jean de Rila. Au XIII siècle, sous l'impulsion de Stepan Drogolov dit Khrélyo, un grand seigneur féodal, ont été élevés l'église, les logements des moines et une petit tour de défense  crénelée qui reste le témoin authentique de la construction primitive de nos jours. Le monastère de Rila a été un grand centre spirituel pour les croyants orthodoxes jusqu’au XIV siècle. 

 

Tour Khrélyo

 Il a été ensuite sous la domination Ottomane et a subi dès le début du XV siècle de nombreux pillages de la part des Turcs. Il a cependant toujours bénéficié de la protection des tsars russes et des voïvodes moldaves.  Détruit en partie par un incendie au début du XIX siècle, il a été rebâti et représente le symbole de la Renaissance bulgare du XIX siècle et de son affirmation culturelle. Le monastère de Rila a exercé avec son architecture et ses fresques un grand rayonnement artistique. Il a été classé au patrimoine de l’humanité par l’Unesco en 1984. 



J'ai été éblouie par la majesté de son église ornée de cinq coupoles avec ses murs extérieurs et intérieurs couverts de fresques, magnifiques, étincelantes, qui sont autant de scènes racontées aux fidèles, tirées de la Bible et des Evangiles. Elles ont été peintes au XIX siècle lors de la reconstruction et l'un des principaux peintres est  Захарий Христович ЗографZachari Kristovich Zograf (1810_1853). 
 
 
Monastère de Rila : fresques

 

Monastère de Rila

 

Monastère de Rila

  

Une véritable Bande dessinée


Avec une vocation spirituelle et éducative, ces fresques présentent d'innombrables  histoires que je n'ai pas toujours comprises. Pour les plus connues, le jugement dernier, Saint Pierre ouvrant les portes du Paradis aux heureux élus, l'Enfer, les diables toujours prêts à tendre des pièges aux humains, les Anges et Archanges combattant le Mal, les grandes figures bibliques, une profusion éblouissante d'images pleines de mouvements, de bruits, de couleurs, d'inscriptions dont j'ai vainement essayé de décrypter le texte cyrillique avec l'aide d'un traducteur. Mais c'est écrit en bulgare ancien donc assez incompréhensible pour moi, même si l'alphabet cyrillique bulgare est proche du russe et si les deux langues se ressemblent un peu.

 

Dans le texte, j'ai repéré les mots serpent et baleine

Les serpents peuvent symboliser le Mal qui sort de la bouche de la jeune fille possédée par le diable. On dirait une scène d'exorcisme (?).  Et qu'arrive-t-il à ce pauvre ange qui l'air si abattu et se tient la tête comme s'il avait reçu un coup?

 

La trompette  sonne la résurrection des morts, l'arrivée de Jésus pour le jugement dernier

Les "méchants" sont avalés par des bêtes. Des diables capturent un groupe de Turcs au lasso pour le précipiter dans le fleuve de l'Enfer.


Monastère de Rila :  fresque le jugement dernier, la pesée des âmes

 

Monastère de Rila : Saint Pierre ouvrant la porte du paradis aux élus (détail)

  

Monastère de Rila : L'Enfer

La parabole du riche et du mendiant Lazare (  détail Dieu, son fils et le riche en Enfer)

Le riche va en Enfer après sa mort et supplie Dieu de le secourir, tandis que Lazare va au Paradis. Il n'y a pas d'issue possible pour le riche ni pour lui, ni pour sa famille. Le purgatoire n'existe pas dans l'église orthodoxe.  

Quelle beauté ces fresques ! Et de même les arcades qui  ferment la cour, blanches à rayures noires et rouges, avec leurs galeries, leurs balustrades et escaliers en bois, leurs petites terrasses en encorbellement, de formes si variées, et une foule de petits détails ornementaux.
 
 
 
Monastère de Rila

 
 
 
 
Monastère de Rila

 
 
 
Monastère de Rila


Monastère de Rila : les cellules des moines

 

 

Monastère de Rila


Monastère de Rila  : source sur le site de l'église orthodoxe de Rila  

 

 Si vous n'avez pas de voiture, vous pouvez aller en car au monastère de Rila, voyage organisé à partir de Sofia, départ le matin, retour en fin d'après-midi. En arrivant, il était possible de choisir entre une excursion avec le groupe jusqu'à la grotte de Saint Ivan ou rester sur place, dans le monastère. C'est ce que j'ai fait. A l'arrivée vers 11 h 30, il y avait foule dans la cour et l'église était envahie même au mois de Mai et hors vacances scolaires. Aussi, je suis allée manger (il y a des restaurants à l'extérieur de l'enceinte) et j'ai ainsi pu être libre pour visiter le site à partir de 12H30 quand il n'y avait plus grand monde !  J'ai vu  aussi le musée qui présente des manuscrits d'une grande valeur, le livre de Rila, datant du XIV-XV siècle, les copies du testament de Saint Ivan réalisées par le prêtre en charge du monastère en 1385 pour sauvegarder les originaux du testament en 1385 menacés de destruction par les Ottomans, de nombreuses copies d'évangiles, de livres biographiques divers de la fin du XV à la fin du XVI siècle.   

Si vous êtes motorisés, vous pouvez aussi choisir de passer la nuit dans le monastère et je vous invite à aller lire les billets de Miriam.

 

 Monastère de Rila (1)

 Monastère de Rila Les fresques (2)

 Monastère de Rila : promenade et musée (3)


Je publierai un dernier bilan après le 15 octobre.
 
 

 

mercredi 8 octobre 2025

Каракачани : En Bulgarie, les karakatchans, un peuple nomade d'origine grecque

Plovdiv : Maison du docteur Chamakov  Zlati Boyazhiev  : Каракачани : Karakatchani
 

Un petit article pour les curieux. 

En visitant la maison du docteur Chamalov et l'exposition  du peintre de Plovdiv, Zlati Boyadzhiev, deux très grands tableaux ont attiré mon attention. Sobrement intitulés Каракачани : Karakatchani, ils m'ont intriguée car je ne connaissais pas cette ethnie et aucun renseignement n'était donné à propos de ces oeuvres.  

 Le Dictionnaire bulgare de l'Académie bulgare des sciences donne la définition suivante du terme : Каракачани :  Karakatchani  :

... petite population de la péninsule balkanique, parlant un ancien dialecte grec du nord et habitant les pâturages de haute montagne des montagnes du Pinde, du Shar, du Pirin, du Rila, des Rhodopes, de la Stara Planina et de la Sredna Gora en été, et les champs de Thrace et les régions côtières de la péninsule en hiver.

Ce sont des bergers qui vivent de leurs moutons dont ils vendent la viande, le lait et la laine. Ils ont été longtemps nomades avant d'être obligés de se sédentariser. Ils se fixaient dans les montagnes en été et en hiver gagnaient les plaines de Thrace jusqu'à la mer Noire.
 

Chaque année, de nos jours, le dernier vendredi et le dernier samedi d'août, se déroule le Festival national des Karakatchans de Bulgarie. Il se déroule à Karandila, un parc près de Sliven, et est organisé par la Fédération des sociétés culturelles et éducatives des Karakatchans de Bulgarie.

Ces oeuvres ont été peintes par Zlati Boyadzhiev en 1971/1972 à une époque où les Karakatchans, du moins certains d'entre eux,  étaient encore nomades si j'en crois ce tableau : 

 

Plovdiv : Maison du docteur Chamakov  Zlati Boyazhiev  : Каракачани : Karakatchani

 
 
Les bergers et leurs troupeaux se déplacent séparément. Le reste des hommes et des femmes avec les chevaux chargés de leurs biens font route à pied. Sur la peinture de Boyadzhiev on voit des femmes juchées sur les chevaux, les plus âgées, peut-être, une mère, des enfants.

 

Berger Karakatchan (détail)
 

  

 Les origines des Karakatchans

 
Plovdiv : Maison du docteur Chamakov  Zlati Boyazhiev  : Каракачани : Karakatchani (détail)
 
 
Ces renseignements sont extraits de l'article intitulé : Origine, mode de vie et moyens de subsistance des Karakachans de Stanislas Valevdont je cite le début. A lire  ICI 

"Il existe différentes versions de l'étymologie du nom des Karatkachans. L'une d'elles affirme qu'il viendrait du turc « karakacan » ou « kirkacan ». Ces mots ont la même signification : « Celui qui part vers les terres incultes » ou « celui qui quitte la forêt » . L'autre version affirme que leur nom viendrait du turc « kara », qui signifie noir, et « kachan », qui signifie pauvre. Leur langue dériverait de la forme populaire du grec « koinè »."

Il existe plusieurs théories sur l'origine des Karakatchans. L'une d'elles affirme qu'ils habitent les Balkans depuis des millénaires. Selon cette thèse, ils vivaient à l'origine dans la région du Pinde, en Grèce centrale, et plus précisément dans le massif d'Agrafa, où se trouve la ville de Ioannina. Sous la domination ottomane, ils résistèrent aux esclavagistes, ce qui les poussa à subir une répression massive. C'est pourquoi, au début du XIXe siècle, ils quittèrent leurs terres et adoptèrent un mode de vie semi-nomade.

Les Karakachans se trouvent du Péloponnèse à travers la Thessalie et la Grèce du Nord jusqu'à la Bulgarie, l'actuelle République de Macédoine, l'Albanie, Andrinople, la Thrace et les terres d'Asie Mineure.

L'une des histoires les plus incroyables sur leur origine raconte qu'ils furent les derniers défenseurs de Constantinople. Leurs aînés décidèrent alors d'exprimer leur deuil en portant des vêtements noirs. Cette couleur fut également transmise à leurs troupeaux. "

 
Le costume des karakatchans

 


"Les vêtements traditionnels des Karakachans se distinguent par leur originalité et reflètent leur culture matérielle, bien qu'ils aient également emprunté à d'autres vêtements nationaux. Les matières traditionnelles utilisées pour les coudre sont la laine et le coton. La couleur noire prédomine, ce qui explique probablement leur nom de Karakachans.

Le costume féminin Karakachan est à la fois hivernal et estival, ce dernier étant sans manches. Les vêtements sont superposés : la longue chemise blanche en coton se porte à l'intérieur. Elle possède des manches trois-quarts bordées de broderies cousues. À son extrémité inférieure, près des chevilles, elle est ornée de dentelle abondante, le plus souvent noire. D'autres manches coupées en laine sont portées par-dessus les manches de la chemise."

Les karakatchani portent des vêtements où domine le noir parce que, fuyant la domination turque, ils se seraient enfuis de leur région d'origine, les montagnes de Pinde en Grèce, et auraient choisi  cette couleur en signe de protestation et de deuil.  Karakatchan vient de Kara qui veut dire noir, on l'a vu, mais Katchan peut aussi signifier fugitif.

 

Le chien berger karakatchan

 

Le chien karakatchan


 Le karakatchan est un chien élevé par les bergers Karakatchans. C'est un gros chien, très fort, qui n'hésite pas à s'attaquer au loup ou à l'ours pour protéger son troupeau dans les montagnes et les forêts des Balkans. On l'appelle aussi l'égorgeur de loup. Il n'abandonne jamais son troupeau et est prêt à le défendre contre tout danger. Il a failli disparaître au moment de la nationalisation des biens voulus par les communistes en Bulgarie, qui a dépossédé les bergers de leurs moutons.

 

 

Le chien karakatchan


Le cheval Karakatchan


 

Le cheval karakatchtan


Le karakatchan est une race de petits chevaux très rustiques, solides, habitués à porter de lourdes  charges pendant les transhumances. Au moment de la nationalisation les chevaux ont été tués. En 1994 il n'en restait plus que 30. Un programme de sauvegarde mis en place depuis a permis de préserver la race.

 

 Le mouton karakatchan

  

Le mouton karakastan


Le mouton karakatchan représente la plus ancienne race du sud-est de l'Europe étant donné qu'elle remonte au mouton primitif de Thrace, "le Tsekel". C'est un mouton de montagne qui est très proche du mouflon avec ses cornes enroulées et sa laine rugueuse. On dit que les bergers Karakatchans éliminèrent la couleur blanche pour ne garder que les moutons noirs.


Le mouton karakastan






jeudi 2 octobre 2025

Les peintres de Plovdiv (2) : Dimiter Kirov et Georgi Bojilov-Slona

Fresque de Dimiter Kirov dans le jardin de la maison Guiorgiadi
  

Voici les artistes de Plovdiv de la seconde moitié du XX siècle : Dimiter Kirov (1935-2008 ) et Georgi Bojilov-Slona (1935-2001. Ils sont tous les deux exposés dans les vieilles maisons des riches marchands de Plovdiv devenues de nos jours des musées.

 

 Dimiter Kirov dit  DiKiro

 

Maison Veren Stambolyan

Dimiter Kirov ou DiKiro est né à Istanbul en 1935 et est mort en 2008 à Sofia en 2008.  Il a suivi les cours de l’université des Beaux-Arts de Sofia et est l’un de ses plus grands représentants.

Lui aussi a vécu et travaillé à Plovdiv fasciné par la vieille ville et sa richesse patrimoniale. Il s’est illustré dans plusieurs domaines artistiques, l'art monumental, la fresque, la mosaïque et l’art moderne.

 

Maison Stambolyan : Oeuvres de Dimiter Kirov



Maison Stambolyan : Dimiter Kirov

 

Maison Stambolyan : Dimiter Kirov : Orphée (détail)


 Maison Veren Stambolyan : Dimiter Kirov  : le peintre et sa femme

L’épouse de Kirov, Roussalia Antonova est une ballerine et professeur de danse.

 

Maison Stambolyan Dimiter Kirov  : Roussalia Antonova 

 
          Maison Stambolyan : Dimiter Kirov : Agression


Maison Stambolyan : Dimiter Kirov  Agression (détail)


  Dimiter Kirov : Plovdiv en hiver  Muséee des BA de Sofia


Georgi Bojilov-Slona dit l'Eléphant
 
 
Georgi Yordanov Bozhilov Slona : Cirque

 
 
Georgi Yordanov Bozhilov, aussi connu sous le surnom de Slona, l'Eléphant, est né à Plovdiv en 1935. Il est mort en 2001. J'ai peu d'images de son oeuvre car je n'ai pas eu le temps de visiter la maison Skobeleva qui lui est dédiée. (Voir ici) 
 
 

 
 Georgi Yordanov Bozhilov Sloan: Apocalypse

  
Mais l'Institut municipal antique de Plovdiv, en tant que gardien du patrimoine culturel et historique, dont une partie est l'œuvre diversifiée de Georgi Bozhilov, a lancé une autre exposition virtuelle « À la mémoire de Georgi Bozhilov - Slona », qui est disponible sur la page Facebook et Instagram - Plovdiv Old Town /official/.
 




Chez Sacha


mercredi 24 septembre 2025

Challenge Bulgarie Bilan 2

Dimitrov Le Maître : le Mariage Musée de Sofia


Vladimir Dimitrov-Le Maître : Le mariage (détail)


Je vois que certaines d'entre vous ignorent que le challenge Bulgarie continue dans mon blog, et oui, en même temps que celui de Sacha que je lis aussi ! 

 C'est pourquoi je publie le bilan 2 aujourd'hui et je prolonge le challenge jusqu'au 15 OCTOBRE pour laisser le temps de continuer nos lectures tranquillement.

Je ferai un dernier bilan de nos lectures communes après cette date.


Anne-Yes 

 Rhapsodie balkanique de Maria Kassimova-Moisset

 

Claudialucia

 Challenge Bulgarie : Littérature Histoire Art qui se joint à moi ?

Les Héros nationaux bulgares : Hristov Botev, Vassil Levski, Hadji Dimitar

Sofia la cathédrale Nevsky et le musée des icônes

Sofia : les édifices religieux : églises, mosquée, synagogue 

 Les peintres bulgares  : Vladimir Dimitrov-Maïstora dit Le Maître et Radi Nedelchev 

 Les peintres bulgares de Plovdiv  (1) : Vladimir Dimitrov Le Maître et Radi Nedelchev

Les peintres bulgares de Plovdiv (2) : Dimiter Kirov et Georgi Bojilov-Slona

Каракачани : En Bulgarie, les karakatchans, un peuple nomade d'origine grecque
 
 Le monastère de Rila

 

Elena Alexieva : Le prix Nobel  

Anton Dontchev : Les cent frères de Manol

 Elitza Guieorgieva : Les cosmonautes ne font que passer

Kapka Kassabova : Elixir 

Victor Paskov : Ballade pour Georg Hanig

Yordan Raditchkov  : Le poirier/ Les noms

Yordan Raditchkov : les récits de Tcherkaski

Ivan Vazov : sous le joug

Jules Verne : Le pilote du Danube 

Jules Verne : Kereban le têtu 

Yordan Yolkov Un compagnon mon billet 

Yordan Yolkov Soirée étoilée mon billet

 Wagenstein Abraham : Abraham Le poivrot (1)

Wagenstein Abraham : Abraham le Poivrot :  Plovdiv (2)

 

Fanja

Le pays du passé de Gueorgui Gospodinov 

 Paskov  Viktor : La Ballade de Goerg Henig


Ingammic 

Rhapsodie balkanique de Maria Kassimova-Boisset 

 

Je lis je blogue
 

Elitza Guieorgieva : Les cosmonautes ne font que passer 

 Kapka Kassabova : Lisière

Viktor Paskov Ballade pour Georg Henig  

 

Keisha : 

Le roi d'argile de Dobromir Baïtchev

  

Miriam 

Carnets bulgares 

 Monastère de Rila (1)

 Monastère de Rila Les fresques (2)

 Monastère de Rila : promenade et musée (3)

 

Theodora Dimova : Les dévastés 

Anton Dotchev : Les cent frères de Manol

Kapka Kassabova Elixir ou la vallée de la fin des temps

Kapka Kassabova : L'esprit du lac 

Kapka Kassabova : Lisière 

Kapaka Kassabova : Anima 

René Kabestan : La vierge jurée 

Marie Kassimova-Moisset :  Rhapsodie balkanique 

Alexandre Levy : Carnets de la Strandja : d'un mur à l'autre 1989-2019 

Paskov Victor : La ballade pour Georg Henig

Jules Verne : Kereban le têtu 

Jules Verne : Le pilote du Danube 

Angel Wagenstein :  Adieu Shangaï

Angel Wagenstein : Le pentateuque ou les cinq livres d'Israel

  

Passage  à L'Est :

 Quelque part dans les Balkans  :  Sevda Sevan

 

Patrice  

Albena Dimitrova : Nous dînerons en français

Yordan Raditchkov : les récits de Tcherkaski 

 

Sacha  

 Sacha initie un challenge bulgare dans son blog : voir ici

 Theodora Dimova : Les dévastés

Theodora Dimimova : Mères 

René Kabestan : Vierge jurée

Maria Kassimova-Moisset : Rhapsodie balkanique

Viktor Paskov : La Ballade pour Georg Henig

Zinaïda Polimenova : Nucleus, ce qui reste quand il n'y a plus rien

  Yordan Yovkov : Un compagnon





 

chez Sacha