George Sand
Si j’étais garçon, je ferais volontiers le coup d’épée par-ci, par-là, et des lettres le reste du temps. N’étant pas garçon je me passerai de l’épée et garderai la plume, dont je me servirai le plus innocemment du monde. George Sand Correspondance (1835)
De temps en temps, je vous invite à aller voir de blog en blog les billets écrits dans le cadre du challenge romantique afin d'en découvrir les richesses et trésors, un voyage dans l'univers romantique de la blogosphère.
Pour ce challenge Romantique, un écrivain s'imposait et se devait d'être mise en avant. Il s'agit de George Sand qui a connu un moment de gloire littéraire en France de son temps mais a ensuite été méconnue, dénigrée, étouffée jusqu'à maintenant parce qu'elle était femme et berrichonne autrement dit "régionaliste", deux tares impardonnables en France. Il faut dire aussi qu'il y avait bien autres choses qui gênaient (et qui gênent encore!) en elle, ses prises de position socialistes, la défense des pauvres, des femmes, ses idées égalitaires, son désir de peindre la beauté du peuple. Et puis il y a sa vie! Son divorce, son indépendance, ses vêtements d'homme, ses amants! Quel scandale! Une femme libre et qui se dit l'égale des hommes!
Je conçois et j'admets que l'on puisse ne pas apprécier l'idéalisme de George Sand, son romantisme utopique mais à une condition, c'est qu'on l'ait lu. On la juge en général à partir de deux ou trois romans alors qu'elle en a écrit une centaine, explorant tous les genres, du roman champêtre, au roman social, politique, historique, fantastique, aux contes folkloriques, au théâtre, à son immense correspondance!
Nous sommes quatre pour l'instant à avoir publié des billets sur cette écrivaine dont on pense que le XXI siècle sera peut-être enfin son siècle : George, Cleanthe, L'Ogresse de Paris et moi-même.
Je conçois et j'admets que l'on puisse ne pas apprécier l'idéalisme de George Sand, son romantisme utopique mais à une condition, c'est qu'on l'ait lu. On la juge en général à partir de deux ou trois romans alors qu'elle en a écrit une centaine, explorant tous les genres, du roman champêtre, au roman social, politique, historique, fantastique, aux contes folkloriques, au théâtre, à son immense correspondance!
Nous sommes quatre pour l'instant à avoir publié des billets sur cette écrivaine dont on pense que le XXI siècle sera peut-être enfin son siècle : George, Cleanthe, L'Ogresse de Paris et moi-même.
Mais laissons d'abord la parole à George qui la connaît si bien et qui l'aime tant. Je lisais dans son blog Les Livres de George un billet intitulé George Sand vue par Emile Zola où l'écrivain naturaliste la comparant à Balzac qu'il admire, lui reprochait son idéalisme et la trouvait dangereuse pour les jeunes gens et surtout pour les femmes.
Ces livres ouvrent le pays des chimères, au bout duquel il y a une culbute fatale dans la réalité. Les femmes, après une pareille lecture, se déclareront incomprises, comme les héroïnes qu’elles admirent [...] Combien de femmes ont trompé leurs maris avec le héros du dernier roman qu’elles avaient lu!
Voilà le beau plaidoyer de George (la nôtre) et sa déclaration d'amour à celle du XIXème siècle :
Car si on peut reconnaître que l’œuvre de Sand témoigne d’une vision idéaliste, voire parfois totalement utopiste, il n’en reste pas moins, que cette utopie prend appui sur une observation réaliste du monde qui l’entoure. Placer ses romans dans son Berry natal, parler des paysans qu’elle côtoyait tous les jours, rendre compte de ses aspirations socialistes est aussi une façon de dire la vérité, mais non pour la montrer dans sa crudité, mais pour tenter de créer un monde meilleur, plus équitable, et égalitaire. Alors, certes George Sand n’est pas une romancière réaliste, mais ses romans ne sont pas seulement des rêves dangereux pour les femmes, et ses prises de position politique, ses combats socialistes, ses engagements montrent assez à quel point elle était de plein pied dans son siècle. Zola engage un duel entre deux auteurs, un combat perdu d’avance pour Sand. Et finalement Émile Zola s’est trompé, puisqu’en 2011 George Sand est encore lue, étudiée, rééditée et si elle reste méconnue ce n’est pas à cause de la faiblesse de ses romans, mais bien parce que depuis deux siècles pèsent sur elle cette interprétation erronée de son œuvre.
Émile Zola, Honoré de Balzac, George Sand sont trois auteurs majeurs du XIXème siècle, trois auteurs clefs et symptomatiques de l’évolution du roman durant ce siècle. Il ne s’agit plus aujourd’hui de les faire s’affronter pour savoir qui va gagner ou perdre, mais de les lire pour ce qu’ils sont. Qui a raison qui a tort, qu’importe, chacun donne sa vision de la réalité et c’est, après tout, ce que l’on demande à un auteur, nous faire partager sa vision du monde.
Indiana (1832)
Chez George : Aujourd’hui partons à la découverte du premier roman écrit par George Sand sous son pseudonyme. Après un roman écrit avec son amant Jules Sandeau, Aurore Dupin, publie donc Indiana, et, sur les conseils d’un ami, signe pour la première fois de son pseudo George Sand. Mais d’où vient ce pseudonyme ? ICI
Chez Claudialucia : Ceux qui m'ont lu sans prévention comprennent que j'ai écrit Indiana avec le sentiment non raisonné, il est vrai, mais profond et légitime, de l'injustice et de la barbarie des lois qui régissent encore l'existence de la femme dans le mariage, dans la famille et dans la société. ICI
Valentine (1832)
Chez George : Valentine fait partie des romans de jeunesse de George Sand. Après la parution de son premier roman Indiana, elle a publié des textes courts, Valentine est donc un retour au roman. Les années 1830 marquent l’arrivée de la seconde génération de romantiques. George Sand a 24 ans quand paraît Valentine. ICI
Leone Leoni (1834)
Chez George : Leone Leoni est un roman écrit pendant le séjour de George Sand à Venise avec Musset. Sand précise dans la préface du roman les circonstances de l’écriture de ce roman, qui semble intrinsèquement liées à sa situation personnelle :
"Étant à Venise par un temps très-froid et dans une circonstance fort triste, le carnaval mugissant et sifflant au dehors avec la bise glacée, j’éprouvais le contraste douloureux qui résulte de notre souffrance intérieure, isolée au milieu de l’enivrement d’une population inconnue". ICI
Journal intime (1834)
Chez George : Ce journal rend donc compte essentiellement du désespoir de Sand face à cette rupture et au désintérêt de Musset pour elle. On y lit la souffrance, le manque, le désespoir de n’être plus aimée et d’aimer toujours pourtant, la passion charnelle aussi. ICI
Simon (1836)
Chez George : Comme le veut la période romantique, le roman porte un titre centré sur le prénom du personnage principal. Cette coutume lancée par Chateaubriand (René), Mme de Staël (Corinne ; Delphine) ou encore Benjamin Constant (Adolphe) eut cours essentiellement durant la première période romantique et George Sand ne déroge pas à la règle puisque la plupart de ses premiers romans portent un titre-prénom, ce qui devait bien l’arranger, elle qui avait tant de mal à trouver un titre pour ses œuvres. Pourquoi un prénom? Car la période romantique s’intéresse au destin individuel d’une âme plongée dans l’Histoire.
Le roman court sur une période allant de 1824 à 1830, période donc antérieure à l’écriture du roman, et période romantique s’il en est. ICI
Mauprat (1837)
Chez George : Avec ce roman, on pénètre dans les romans gothiques de George Sand. La noirceur de Tristan et de ses fils que décrit George Sand nous rappelle les romans d’Ann Radcliff voire de Sade! Mais on y lit aussi l’influence de Jean-Jacques Rousseau. Mauprat est écrit entre 1835 et 1837, le roman paraît en 1837. Sand choisit le cadre du Berry, son pays, dont elle connaît tous les recoins. C’est un roman clef dans l’œuvre de George Sand qui met en scène un personnage féminin, là encore, caractéristique de la vision féminine de Sand. Edmée de Mauprat est une jeune fille instruite et fine, sans doute l’une des premières héroïnes sandiennes à prendre une telle ampleur. ICI
Chez Claudia : Quand on lit George Sand, on a toujours l'impression de la redécouvrir tant les genres qu'elle explore sont différents. Avec Mauprat, nous sommes en plein romantisme, un roman gothique avec une histoire d'amour et de mise à l'épreuve, des nobles sinistres perpétrant leurs méfaits derrière les fortifications de leur château, des brigandages, des meurtres...
Récit d'aventures, Mauprat est aussi un roman où l'on retrouve tous les thèmes sérieux chers à l'écrivain. George Sand aborde ici le thème de l'éducation mais, si elle est rousseauiste et admire l'Emile, contrairement à Rousseau, elle est persuadée que l'homme n'est pas naturellement bon et que l'éducation a une fonction civilisatrice. ICI
Récit d'aventures, Mauprat est aussi un roman où l'on retrouve tous les thèmes sérieux chers à l'écrivain. George Sand aborde ici le thème de l'éducation mais, si elle est rousseauiste et admire l'Emile, contrairement à Rousseau, elle est persuadée que l'homme n'est pas naturellement bon et que l'éducation a une fonction civilisatrice. ICI
Les Compagnons du tour de France (1840)
Chez George : Avec ce roman, George Sand marque l’ancrage politique du romantisme, un romantisme social tourné vers la cause du peuple, tel que Victor Hugo le développera également dans Les Misérables. George Sand montre que l’artisan est aussi un artiste du quotidien.
Parallèlement, le roman rend compte de deux histoires d’amour : la première entre Pierre et Yseult, la seconde entre Amaury et Joséphine, la jeune cousine d’Yseult. Deux amours aussi différentes l’une que l’autre, le premier établi sur une entente philosophique et intellectuelle, le deuxième établi davantage sur la sensualité, avec toutes les conséquences que celle-ci peut entraîner. ICI
Chez Claudia : Pour écrire sur les Compagnons, George Sand s'est énormément documentée en s'appuyant notamment sur Le livre du compagnonnage d'Agricol Perdiguier, Compagnon sous le sobriquet de Avignonnais la Vertu -natif d'Avignon donc- menuisier, écrivain et député. George Sand reçut Agricol Perdiguier chez elle. Instruit, lettré, auteur de chansons et de poèmes, il était convaincu que l'instruction et la lecture sortiraient le peuple de l'obscurité. Il oeuvrait pour que les sociétés de compagnonnages se réconcilient et se solidarisent. Déjà gagnée au "socialisme humanitaire" par l'influence de Pierre Leroux, George Sand écrit alors en 1840 : Le compagnon du Tour de France, un roman social très fortement engagé. ICI
Parallèlement, le roman rend compte de deux histoires d’amour : la première entre Pierre et Yseult, la seconde entre Amaury et Joséphine, la jeune cousine d’Yseult. Deux amours aussi différentes l’une que l’autre, le premier établi sur une entente philosophique et intellectuelle, le deuxième établi davantage sur la sensualité, avec toutes les conséquences que celle-ci peut entraîner. ICI
Chez Claudia : Pour écrire sur les Compagnons, George Sand s'est énormément documentée en s'appuyant notamment sur Le livre du compagnonnage d'Agricol Perdiguier, Compagnon sous le sobriquet de Avignonnais la Vertu -natif d'Avignon donc- menuisier, écrivain et député. George Sand reçut Agricol Perdiguier chez elle. Instruit, lettré, auteur de chansons et de poèmes, il était convaincu que l'instruction et la lecture sortiraient le peuple de l'obscurité. Il oeuvrait pour que les sociétés de compagnonnages se réconcilient et se solidarisent. Déjà gagnée au "socialisme humanitaire" par l'influence de Pierre Leroux, George Sand écrit alors en 1840 : Le compagnon du Tour de France, un roman social très fortement engagé. ICI
Consuelo et La comtesse de Rudolstadt (1843)
Chez Cleanthe : On ne dira jamais assez qu'il faut ranger George Sand parmi les meilleurs écrivains du XIXème siècle français. Une auteure à effets, dans le goût du roman-feuilleton où elle excelle. George Sand ne s'économise pas, c'est parfois ce qu'on lui reproche, d'en faire trop. Mais c'est vraiment un plaisir, quand on est un lecteur, d'être mené ainsi par le bout du nez sur près de 1500 pages. ICI
Chez Claudialucia : La culture de George Sand au niveau historique et son érudition musicale qui nous transportent d'un pays à l'autre est un des plaisirs du roman. Mises à part quelques longueurs et répétitions dans le récit, j'ai aimé son aspect initiatique et picaresque quand les deux jeunes gens sont sur les routes et gagnent leur vie en chantant et en jouant de la musique. Les personnages qu'ils rencontrent sont bien campés. George Sand a l'art du portrait satirique aussi bien sur le plan physique que moral. Elle sait mettre en avant avec beaucoup d'humour le trait caricatural, les travers, les faiblesses, les vanités de chacun tout en rendant la complexité de l'âme humaine. ICI
Le péché de M. Antoine (1845)
Chez George : Le Péché de Monsieur Antoine est le dernier roman socialiste écrit pas George Sand. Elle commence la rédaction en juillet 1845, le roman paraît en feuilletons d’octobre à novembre 1845.
Le thème est donc engagé. George Sand est dans sa grande période socialiste, elle crée plusieurs journeaux, est amie avec Pierre Leroux, philosophe, réfléchit à une solution favorable au bien-être d’un peuple en souffrance. Elle dénonce ou du moins critique le Saint-Simonisme, mais aussi certaines idée de Fourier, donne son opinion sur les Associations… ICI
Chez Claudialucia : Un jeune étudiant, Emile, voyage dans une région accidentée et sauvage aux confins de la Marche et du Berry, lorsqu'un violent orage se déchaîne. Obligé de s'arrêter, il rencontre un paysan, Jean Japeloup, qui l'amène s'abriter au château de Châteaubrun. Là au milieu des ruines, dans une aile restaurée, vivent M. Antoine de Chateaubrun, sa fille Gilberte, la mère Janille, la vieille gouvernante. Tout ce monde vit là, démocratiquement, sur un plan d'égalité et d'amitié, mangeant à la même table. Emile va être tout de suite séduit par cette famille dont les moeurs correspondent tant à ses idées socialistes. ICI
Le thème est donc engagé. George Sand est dans sa grande période socialiste, elle crée plusieurs journeaux, est amie avec Pierre Leroux, philosophe, réfléchit à une solution favorable au bien-être d’un peuple en souffrance. Elle dénonce ou du moins critique le Saint-Simonisme, mais aussi certaines idée de Fourier, donne son opinion sur les Associations… ICI
Chez Claudialucia : Un jeune étudiant, Emile, voyage dans une région accidentée et sauvage aux confins de la Marche et du Berry, lorsqu'un violent orage se déchaîne. Obligé de s'arrêter, il rencontre un paysan, Jean Japeloup, qui l'amène s'abriter au château de Châteaubrun. Là au milieu des ruines, dans une aile restaurée, vivent M. Antoine de Chateaubrun, sa fille Gilberte, la mère Janille, la vieille gouvernante. Tout ce monde vit là, démocratiquement, sur un plan d'égalité et d'amitié, mangeant à la même table. Emile va être tout de suite séduit par cette famille dont les moeurs correspondent tant à ses idées socialistes. ICI
Histoire de ma vie (1855)
Chez George : Dans son autobiographie, Histoire de la vie, George Sand développe la théorie romantique à laquelle elle adhère : "En résumé, idéalisation du sentiment qui fait le sujet, en laissant à l’art du conteur le soin de placer ce sujet dans des conditions et dans un cadre de réalité assez sensible pour le faire ressortir, si, toutefois, c’est bien un roman qu’il veut faire". ICI
Les dames en vert 1857
Chez George : Ce court roman joue allègrement sur la veine fantastique. Des fantômes, l’angoisse, des apparitions, une statue qui prend vie, et un étrange manuscrit ! Mais comme toujours avec George Sand, le roman dit plus, va plus loin que la simple petite histoire.
Situer l’action en 1788 a bien sûr son importance, d’autant plus pour George Sand. Son père, avant elle, avait une âme de révolutionnaire. Il défendait les idées de la Révolution, et George Sand a marché dans ses pas. ICI
Situer l’action en 1788 a bien sûr son importance, d’autant plus pour George Sand. Son père, avant elle, avait une âme de révolutionnaire. Il défendait les idées de la Révolution, et George Sand a marché dans ses pas. ICI
Chez Cleanthe : Ce récit, tout en faux semblants et en chausse-trappes, est un petit bijou d'ironie qui montre que, même assagie, George Sand n'a rien perdu de la verve de sa jeunesse. Publiée la même année que Mademoiselle La Quintinie, roman charge croisant la question du mariage et celle de la religion, ces Dames vertes donnent, sous la forme d'une histoire de fantômes somme toute assez traditionnelle, un récit passionnant mêlant environnement fantastique et préoccupations sociales. ICI
L'orgue des Titans (1873)
Chez Claudia : L'orgue des Titans, récit fantastique, donne son titre au recueil de contes de George Sand paru à l'école des Loisirs/ classiques. Tous sont issus de deux ensembles : Les contes d'un grand-mère et Les légendes rustiques.
Ce recueil témoigne de l'intérêt du romantisme pour le folklore et les traditions et aussi pour le fantastique. ICI
Le musée de la Vie Romantique
L'ogresse de Paris : Le salon du peintre Ary Scheffer, réunit alors le cercle romantique des années 1830. Le musée de la Vie Romantique conserve aujourd'hui les souvenirs de l'artiste, meubles, portraits, mais également ceux de son amie Georges Sand. ICI
Il faudrait bien que j'en lise un peu (Ok, j'ai lu pas mal de ses romans "régionaux", je suis du coin quand même)et même Consuelo (ah quel roman!)
RépondreSupprimerJe pense aller visiter à nouveau sa maison à Nohant.
Merci pour le billet!
Mais que fait blogger? On nous demande une suite incroyable de caractères à entrer pour laisser un commentaire! Aujourd'hui : ackingen hescurc
Quel billet! Quelle approche! Formidable.
RépondreSupprimer"Mauprat" sera donc ma prochaine lecture...
Hi hi je ris de l'énervement de Keisha car j'ai le même, il va falloir bientôt plus de temps à taper les codes demandés par nos hébergeurs que pour écrire le commentaire
RépondreSupprimerTu reviens à la charge avec George Sand, grrrr , chaque fois je me sens tout à fait misérable de n'avoir presque rien lu, par contre grâce à toi j'ai engrangé un nombre de titres qui va me permettre de lire pendant plusieurs .....annnées ? non là j'exagère, plusieurs mois c'est certain
Mince, oui c'est très énervant, je venais de te laisser un commentaire de trois mètres de long et blogger a tout effacé... Zut alors... Bon je recommence je disais bravo pour ton billet très complet parce que je me rends compte que je ne sais finalement par grand chose sur cette auteur dont je n'ai lu que "La petite Fadette" quand j'étais ado... Je te disais aussi que je venais juste de me rendre compte que je n'avais même pas encore fait mon billet de présentation pour ton challenge et que je viens de corriger cela... Ah aussi, je ne me trompe pas mais tu m'avais bien autorisé à y intégrer finalement le livre d'Orgueil et préjugés n'est ce pas ??
RépondreSupprimerBisous et bon week end Claudia Lucia
Keisha : oui, il paraît que c'est ennuyeux d'avoir à remplir tout ça! Mais en même temps sur Le Monde, il n'y avait aucune protection et j'ai dû arrêter mon blog et changer de boîte de messagerie parce que je recevais des centaines de spams par jour!
RépondreSupprimer@ Thérèse; Avec Mauprat, bienvenue dans le roman gothique et utopiste!
RépondreSupprimer@ dominique : allez, allez,lance-toi dans la lecture sandienne, ne serait-ce que pour savoir si tu aimes ou pas!
RépondreSupprimerC'est vrai que ces codes sont complexes, chez toi aussi, ils sont assez bizarres!
@ l'or des chambres : Merci pour la présentation du challenge! Oui , tu peux faire un billet sur Orgueil et préjugés et si tu veux tu peux te demander ce qui est romantique chez Austen ou pas! Par contre Emily Brontë est romantique en plein!
RépondreSupprimeroh la la quel billet !!! je le découvre qu'aujourd'hui, j'étais en vadrouille hier !!! bravo et merci, je pense que Sand doit être bien heureuse que nous nous décarcassions pour ses romans,et peut-être trouve-t-elle cela étrange d'être encore lue à notre époque !!! c'est un réel bonheur de t'avoir découverte, toi et ton blog ! Vive Sand et oui lisons-là elle le mérite tellement !
RépondreSupprimerBravo pour cet excellent billet ! :)
RépondreSupprimerNotre George à nous peut être dans ses petits souliers ! :)
@ george : Merci! Oui et j'espère que ça va servir que nous nous décarcassions!
RépondreSupprimer@Lili Galipette : Merci. Quant à notre George, plus on parle de Sand, plus elle est contente! Et il faut reconnaître qu'elle en parle bien!
RépondreSupprimerVoilà qui me donne envie de relire (hum, de lire !) George Sand ! Car en réalité je la connais bien mal, seulement quelques extraits qui datent de l'école^^
RépondreSupprimer