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samedi 8 novembre 2014

Enigme du samedi N°101 : Un Livre/un Jeu

Enigme du samedi : un livre/un film, un jeu qui allie deux passions : la lecture et le cinéma
logo Un film/un livre

Un  livre/un film


Pour ceux qui ne connaissent pas Un Livre/un film, notre énigme du samedi, je rappelle la règle du jeu.

Wens de En effeuillant le chrysanthème et moi-même, nous vous proposons, le 1er et le 3ème samedi du mois, et le 5ème pour les mois avec cinq samedis, un jeu sous forme d'énigme qui unit nos deux passions : La littérature et le cinéma! Il s'intitule : Un livre, Un film. Chez Wens vous devez trouver le film et le réalisateur, chez moi le livre et l'auteur. Eeguab ne nous relaiera pas cette année mais nous le remercions de tout le travail accompli l'année dernière.

Consignes  

Vous pouvez donner vos réponses par mail, adresse que vous trouverez dans mon profil : Qui suis-je? et  me laisser un mot dans les commentaires sans révéler la réponse pour m'avertir de votre participation. Le résultat de l'énigme et la proclamation des vainqueurs seront donnés le Dimanche.

La prochaine énigme a lieu exceptionnellement aujourd'hui samedi 8 Novembre et non le 1er Novembre puisque ce samedi  tombait pendant les vacances. Mais à partir de la semaine prochaine nous reprenons le rythme 1er/3ème/ et éventuellement 5ème samedi du mois.

Prochain rendez-vous

Donc rendez-vous la semaine prochaine pour le troisième samedi du mois :  le 15 Novembre 

Enigme n°101

Nous recommençons notre énigme par un classique qui est peut-être l'un des plus célèbres romans du XIX siècle, internationalement connu. Il y a eu maintes adaptations au cinéma. Mais quelle adaptation Wens a-t-il choisie? Je n'en dis pas plus, car  le texte ci-dessous vous permettra de retrouver le titre avec facilité, j'espère!

(Le héros), à moitié abasourdi, sans pourpoint et la tête tout emmaillotée de linges, se leva donc et, poussé par l’hôte, commença de descendre; mais,  en arrivant à la cuisine, la première chose qu’il aperçut fut son provocateur qui causait tranquillement du marchepied d’un lourd carrosse attelé de deux gros chevaux normands.
Son interlocutrice, dont la tête apparaissait, encadrée par la portière, était une femme de vingt à vingt-deux ans. Nous avons déjà dit avec quelle rapidité d’investigation (le héros) embrassait toute une physionomie; il vit donc du premier coup d’œil que la femme était jeune et belle. Or cette beauté le frappa d’autant plus qu’elle était parfaitement étrangère aux pays méridionaux que jusque-là il avait habités. C’était une pâle et blonde personne, aux longs cheveux bouclés tombant sur ses épaules, aux grands yeux bleus languissants, aux lèvres rosées et aux mains d’albâtre. Elle causait très vivement avec l’inconnu.