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lundi 17 février 2014

Price Minister soutient les Toiles enchantées qui s'engage à offrir une séance de cinéma aux enfants malades ou handicapés

Fanfan la Tulipe de Christian Jaque

Price Minister soutient ICI les Toiles enchantées : Si vous publiez cette mini-interview sur votre blog, PriceMinister - Rakuten s’engage à faire un don de 15€ aux Toiles Enchantées qui offre gratuitement aux enfants et adolescents hospitalisés ou handicapés les films à l'affiche sur grand écran, comme au cinéma !
Pour cela il faut répondre aux questions ci dessous et envoyer un mail à Oliver Moss oliver.moss[at]priceminister.com pour valider la participation.


Quel est votre premier souvenir de cinéma ?



Mon premier dessin animé est Jeannot l'Intrépide :  je ne me souviens plus très bien de l'histoire mais je sais que Jeannot est rapetissé par un méchant ogre; il tombe dans une toile d'araignée et celle-ci, un énorme monstre, menace de le manger! ET VOILA comment on devient arachnophobe pour le reste de sa vie!



Quel est mon premier film? Je ne sais plus si c'est Fanfan la Tulipe de Christian Jaque ou Jeux interdits de René Clément. Inutile de dire que j'ai énormément aimé les deux films bien qu'ils soient d'un genre très différent!

Brigitte Fossey dans Jeux interdits


Quel est selon vous le meilleur film pour enfants de tous les temps ?

Le magicien d'Oz

Le magicien d'Oz de Victor Fleming (1939) avec Judy Garland

Synopsis et détails A partir de 3 ans
Dorothy, jeune orpheline, vit chez son oncle et sa tante. Tout irait pour le mieux si l'institutrice ne détestait pas son chien. C'est alors que Dorothy fait un rêve où elle se trouve transportée au royaume magique des Munchkins à la recherche de son chien. Les Munchkins sont des nains protégés par la bonne fée du Nord mais menacés par la méchante fée de l'Ouest. Pour retrouver son chien, Dorothy doit s'emparer des chaussures rouges de la mauvaise fée et aller voir le magicien d'Oz dans son palais d'Emeraude. (Allociné)

Une machine à voyager dans les films vient d’être inventée. Vous avez la possibilité de vivre les aventures d’un de vos héros cinématographiques d’enfance, dites-nous qui ?



Un de mes héros préférés quand j'avais six ans était Peter Pan. Si je replonge dans mon enfance ce qui me faisait rêver dans Peter Pan c'était d'abord qu'il pouvait voler, ensuite qu'il était indépendant tout en restant enfant, qu'il vivait dans un pays où les fées et les sirènes existaient vraiment et qu'il connaissait des aventures extraordinaires.
Plus tard, en lisant James Matthew Barrie j'ai découvert la signification du personnage de Peter Pan mais évidemment à à cet âge là, fort heureusement, je n'en avais cure!*

Dites-nous en une phrase pourquoi vous aimez les Toiles Enchantées !

"Le cinéma est plus vrai que le vie" disait Joseph Mankievitcz. C'est pourquoi j'aime que l'association Les toiles enchantées offre aux enfants malades ou handicapés l'occasion de voir des films qui leur permettent de s'évader, de rêver, de rire et de réfléchir aussi.

Vous aussi participez à la chaîne de solidarité en participants à #1Blog1Séance http://bit.ly/1d7Og1o ou en faisant directement un don si vous n’avez pas de blog.


*James Matthew Barrie


Pour ceux que cela intéresse  : A lire le très beau livre de James Matthew Barrie Le petit oiseau blanc ou Peter Pan dans les jardins de Kensington: billet  ICI

Auteur très fécond, Barrie écrivit plus de soixante-dix œuvres, des romans, des œuvres autobiographiques et, bien sûr, des pièces de théâtre. Portrait de Margaret Ogilvy par son fils, publié en 1896, occupe une place à part dans sa bibliographie : il s’agit d’un magnifique portrait de mère, mais également celui du personnage qui porta en germe tous les personnages féminins qui hantent l’œuvre de l’auteur écossais. La relation que Barrie entretint avec Margaret Ogilvy fut très particulière : si celle-ci eut dix enfants, elle accorda immédiatement une préférence marquée et évidente à un de ces fils, David, et à la mort accidentelle de celui-ci, elle fut accablée. Le jeune James décida alors de remplacer ce frère, au sens propre comme au sens figuré, auprès de sa mère, n’hésitant pas à endosser la personnalité de l’enfant mort en allant jusqu’à revêtir ses habits. Toute la vie de James fut, par la suite, dévorée par le frère décédé : on soupçonne que son apparence physique (il fut, pense-t-on, victime d’une forme de nanisme psychogène qui le condamna à garder l’apparence d’un petit garçon), son absence de sexualité à l’âge adulte, mais aussi le choix d’études que ses parents lui imposèrent (il dut étudier la théologie pour devenir pasteur conformément à ce que son frère David aurait fait) furent directement liés à cette schizophrénie choisie qui naquit dans cette relation mère-enfant et dont des échos sont présents dans toute l’œuvre barrienne. (cahiers victoriens et edouardiens)