Comme des chaussures qui scintillent sur la banquise, satinées
Comme en apnée d'admiration sur le circuit de nos idées
Comme la vérification ultime d'un vil canular susceptible
De mentir et d'emménager dans le sous-sol de nos pensées
Comme un tournoi où ils s'affrontent, le surineur et le kiné
Se sont battus, se sont traînés sur le noir pavé de nos nuits
Comme un combat de chevaliers, le choc des lances a explosé
Mais le tueur a pardonné!
dédié à Eeguab et Wens
Cette fois-ci, j'ai déclaré forfait avec les mots imposés dans l'atelier d'écriture d'Olivia. Et puis impressionnée par le combat de titans des susnommés, j'ai écrit ce petit texte : apnée – admiration – tournoi – vérification – pardonner – mentir – circuit – chaussures – canular – susceptible – emménager – satiné – banquise – cape – scintiller – pavé
Bon. On sait qui a gagné, d' accord. Mais pour qui se battaient ces 2 oiseaux là ??? Hein ? Dis-donc ???
RépondreSupprimerj'ai gagné sans gloire contre un titan de pacotille!
RépondreSupprimerBravo Claudia !!! Si maintenant ils se battent ces deux là où va-ton ??? Moi je dis 1-0 pour le Kiné, parce que sans doulos...le surineur n'est plus rien, rien du tout !!! :)
RépondreSupprimerTon poème est éloquent et ils ont eu le mérite de te faire retrouver l'inspiration !!!^^
Bien joué!
RépondreSupprimerBeau sens de l'humour,éloquente Claudia,et beau sens de l'épique dans ton texte à propos de ce combat fratricide et surtout,je l'espère, un peu sinistrosicide.
RépondreSupprimerBen c'est Eeguab qui a commencé, il me semble, Pierrot, il a piqué le chapeau de Wens...
RépondreSupprimerEt Wens criait partout ce matin pour retrouver son Doulos ! MDR !
Bravo Claudia, tu as de l'humour et ne prends pas partie !!!
Bon we & bisous d'O.
@ Pierrot : avec le ramdam qu'a fait Wens tu devrais savoir que Eeguab lui a piqué son chapeau!
RépondreSupprimer@ wens: présomptueux!
RépondreSupprimer@ Aspho : ce sont deux grands gamins, tu ne trouves pas?
RépondreSupprimer@ Thérèse : et oui, on s'amuse dans l'atelier d'écriture!
RépondreSupprimer@ Eeguab : waouh! Un combat épique! Il m'a fallu au moins le style d'Homère pour en rendre compte!
RépondreSupprimer@ Soène : et oui c'est Eeguab qui a commencé et alors il a piqué le doulos de Wens et alors Wens.... dans la cour de récré!
RépondreSupprimerJe sais pas qui est qui, qui fait quoi mais c'est épique ! Un air moyen-âgeux et moderne à la fois plane dangereusement...
RépondreSupprimerOuf ils sont saufs tous les deux :-)
RépondreSupprimerJolie l'image du sous sol de nos pensées:-) et aussi le noir pavé de nos nuits :-)
Ceci confirme que Wens se ramoli. ;-) Non, sérieusement, ton hommage est bien vu et bien écrit. :D Comme toujours tu nous offres un poème plein d'humour. :D
RépondreSupprimertrès bel hommage, vaincu par KO l'effeuilleur...pffff....tout ça pour un chapeau ???? mais en un coup de khandjar, c'était réglé !
RépondreSupprimerbeau poème, en tout cas, les mots deviennnent de plus en plus improbables !
biz
@ merquin : c'est sûr que pour ceux qui ne sont pas au courant de l'échange de textes de Eeguab et Wens, cela doit paraître un peu sybillin.Bref! On s'amuse!
RépondreSupprimer@ Valentine : les images sont venues tant bien que mal avec des mots que je n'arrivais pas à placer!
RépondreSupprimer@ cériat: je suis d'accord, il se ramollit! Il devient sentimental!
RépondreSupprimer@ jeneen : comme tu y vas! Un coup de kandjar! Mais notre Wens a craqué et n'a pu le donner.Trop gentil, te dis-je!
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