Je n'ai pas le temps de faire un billet sur La route au tabac de Caldwell qui a été auteur que j'ai beaucoup fréquenté jadis. Je vous renvoie à une critique de Babelio que je trouve très intéressante : L'auteure signe Woland :
Nous sommes dans les années trente, dans la Géorgie profonde sur laquelle
souffle l'ouragan de la Grande dépression. Ah ! cette "Crise", comme on
l'appelait aussi à l'époque, quel excellent prétexte elle donne à
Jeeter Lester, le père, pour continuer à creuser son propre tombeau et
celui des siens ! Car, Grande dépression ou pas, Jeeter a toujours
tellement réfléchi, tellement rêvé de ce qu'il pourrait faire sur son
lopin de terre qu'il n'a jamais eu le courage de passer à l'acte et que,
de tous temps, la Faim et la Misère se sont disputé ses quelques acres.
Babelio Woland Voir suite ICI
Allez voir le billet de Wens qui vous dira son avis sur le film de Ford, La route au tabac, qui, contrairement à son autre film Les raisins de la colère animé d'un souffle lyrique, n'est pas très réussi.
Aujourd'hui, c'est l'hécatombe : aucun(e) gagnant(e)! Pourquoi? Parce que (et pourtant je n'ai pas voulu que ce soit un piège) la ressemblance était trop grande (Tout au moins pour la situation initiale non pour l'univers des deux écrivains) entre Steinbeck Les raisins de la colère et Erskine Caldwell : La route du tabac.
Seul Aifelle a pensé à Caldwell mais pour Le petit arpent du Bon Dieu. Bravo à elle et merci à tous!.
Le roman : Erskine Caldwell : la route au tabac
Le film : John Ford La route au tabac
Perdu! Je me suis persuadée que c était Steinberg et seul le nombre d Oscars ne collait pas
RépondreSupprimerL'erreur est très compréhensible!
SupprimerBonjour. Pardon mais je ne suis pas passé chez toi hier. Ceci explique cela car j'évoquais justement Caldwell dans mon billet sur Des mules et des hommes. Je crois que c'est la première fois que ça m'arrive. Bonne semaine à tous deux.
RépondreSupprimerEn effet, tu es un fidèle de la première heure et un incollable! Je vais venir voir ton billet sur Caldwell.
SupprimerAh ben dis donc ! je me suis plantée, j'étais tellement sûre de moi que je n'ai pas creusé ... ça m'intrigue, je vais retourner voir de plus près. J'ai lu "le petit arpent du bon Dieu" dans ma jeunesse, mais pas "la route au tabac".
RépondreSupprimerTu as été celle qui qui a trouvé l'auteur! bravo! Quant au titre, évidemment, c'est plus difficile dans la mesure où je supprime les noms propres dans le texte cité.
SupprimerBonjour Claudialucia, je viens de m'apercevoir que j'ai tout faux (ou presque). J'ai été très présomptueuse. En tout cas, merci encore pour ces jeux que j'espère retrouver à la rentrée. Bonne après-midi.
RépondreSupprimerMerci dasola. Et oui, c'était plus difficile qu'il n'y paraît dans la mesure où il pouvait facilement y avoir méprise!
SupprimerJ'avais aussi pensé à Steinbeck mais le problème c'est que je n'avais pas l'impression d'y reconnaître son écriture... bon, j'ai bien fait de ne pas participer car je n'aurai jamais deviné...
RépondreSupprimerEn fait, seul le style et la manière de traiter les personnages pouvaient permettre de distinguer Caldwell de Steinbeck. Steinbeck a beaucoup plus de tendresse pour ses personnages. Le monde qu'il décrit est tout aussi cruel que celui de Caldwell mais chez lui il y a l'espoir et la foi en l'humanité.
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