Photo de Léonie: Les mains sur un film de l'artiste norvégien Rolf Aamot |
J'ai écrit ce poème à la manière du poète norvégien Hauge...
Photo de Léonie: Les mains sur un film de l'artiste norvégien Rolf Aamot |
Et j’étais jeune
Et j’étais jeune
et
je ne savais pas retenir entre mes doigts l’eau
limpide du bonheur
Et il me semblait que l’espace
n’allumait pas assez de feux dans le ciel
pour guider mes pas.
Je ne m’arrêtais jamais au tic tac de l’horloge.
et
je ne savais pas retenir entre mes doigts l’eau
limpide du bonheur
Et il me semblait que l’espace
n’allumait pas assez de feux dans le ciel
pour guider mes pas.
Je ne m’arrêtais jamais au tic tac de l’horloge.
C'est un texte beau et émouvant Claudialucia.
RépondreSupprimerOui, un joli texte plein de retenue et d'émotion. Et nous étions tous jeunes... Merci.
RépondreSupprimerMerci! Et oui, la jeunesse a bien des attraits mais on la vit souvent à toute allure!
SupprimerN'avons-nous pas l'impression d'être immortels dans notre tête tout du moins.
RépondreSupprimerLe mot "palpiter" prend ici toute son importance.