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jeudi 8 octobre 2015

Saint Pétersbourg de nuit : quelques images

Saint Pétersbourg : le canal Moïka de nuit reflets sur l'eau
Saint Pétersbourg : le canal Moïka
Je n'ai pas le temps d'écrire en ce moment alors je vous livre quelques images de Saint Pétersbourg de nuit. Pour commencer une image du canal Moïka sur la rive duquel je logeais. Et aussi :

Saint Pétersbourg :La perspective Nevsky de nuit
Saint Pétersbourg :La perspective Nevsky
Saint Pétersbourg Etat-Major (arche) en face du Palais d'Hiver la nuit
Saint Pétersbourg Etat-Major (arche) en face du Palais d'Hiver
Saint Pétersbourg : Le Palais d'Hiver


Saint Pétersbourg : La colonne Alexandre et Le Palais d'Hiver de nuit
La colonne Alexandre et le palais d'Hiver

Saint Pétersbourg : Le canal Griboiédov et la cathédrale  Saint Sauveur de nuit
Saint Pétersbourg : Le canal Griboiédov et Saint Sauveur

Saint Pétersbourg : La cathédrale Isaac
Et pour finir encore une image de mon cher canal Moïka vu sous un autre angle...

Saint Pétersbourg : Le canal Moïka


lundi 5 octobre 2015

Saint Pétersbourg : la maison de Pouchkine et Le nègre de Pierre le Grand

Saint Pétersbourg Alexandre Pouchkine : statue dans la cour  de l'Hôtel particulier du N°12 canal Moïka devenu le  musée Pouchkine
Alexandre Pouchkine : statue dans la cour  de la maison
Alexandre Pouchkine est considéré comme le père de la littérature russe. Il est le premier, en effet, à avoir abandonné le français qui était la langue de l'aristocratie où le russe littéraire, celui utilisé dans la liturgie, pour raconter des histoires dans la langue du peuple, le russe du quotidien; Il est le poète, le romancier, le dramaturge, qui a remis à l'honneur l'Histoire de son pays, les contes, les légendes, les chansons du peuple, leurs croyances, leurs manières de vivre, leur mentalité. Dans les écrits de Pouchkine, j'adore ces personnages du peuple : les "niania" (les nourrices), les fidèles serviteurs qui n'ont pas la langue dans la poche, à la fois superstitieux et pragmatiques et dans tous les cas savoureux!.

Pouchkine est si vénéré en Russie que la cour de l'hôtel particulier où il a loué son dernier appartement, est paraît-il couverte de fleurs chaque année à la date de sa naissance et à celle de sa mort.

 La dernière maison de l'écrivain à Saint Pétersbourg

Saint Pétersbourg :  le musée-appartement Alexandre Pouchkine
Saint Pétersbourg :  Hôtel particulier N°12 canal Moïka devenu le  musée Alexandre Pouchkine 
C'est là, au n° 12 (tout près de l'endroit où j'habitais!) que se dresse le bel hôtel particulier appartenant jadis  au prince Volkonsky. C'est là qu'Alexandre Pouchkine a loué un appartement au premier étage.
On pénètre d'abord dans la cour où se dresse sa statue.

Saint Pétersbourg :  cour du musée-appartement d'Alexandre Pouchkine, jadis hôtel appartenant au prince Volkonsky
Saint Pétersbourg :  cour du musée-appartement d'Alexandre Pouchkine 
La pièce la plus extraordinaire de l'appartement de Pouchkine est la bibliothèque qui contient 4000 ouvrages en 14 langues différentes. Il appelait ses livres "mes amis". De nombreux souvenirs sont restés dans cette pièce :  des écrits, des lettres, sa canne, son fauteuil, le gilet qu'il portait le jour où il a été tué; le petit buste d'un Ethiopien qui lui rappelait son  arrière grand père Hannibal qui était noir.

Saint Pétersbourg : musée-appartement d'Alexandre Pouchkine son fauteuil
Derrière le fauteuil, on aperçoit le canapé où on l'a transporté au moment de sa mort.

Saint Pétersbourg : musée-appartement d'Alexandre Pouchkine sa canne

 Natalia Goncharova Pouchkine

Saint Pétersbourg : portrait de  la belle  Natalia Goncharova l'épouse de Pouchkine
Saint Pétersbourg : musée-appartement d'Alexandre Pouchkine :  La belle Natalia Goncharova

Le piano de Natalia
Natalia Nicolaievna Goncharova  a épousé Alexandre Pouchkine en 1831. Ils ont quatre enfants  et vivent tous dans cet appartement avec les deux soeurs de Natalia entre 1836 et 183. Natalia est courtisée d'une manière qui suscite les commérages et la colère de Pouchkine par le baron George d'Anthès. Bien que français, celui-ci à pu entrer dans le régiment des Gardes de l'Impératrice en tant que sous-lieutenant. Il s'est fait adopter par Jacob Burchard van Heeckeren, ambassadeur des Pays-Bas à Saint Pétersbourg. Pour arrêter les médisances, d'Anthès demande la soeur aînée de Natalia, Ekaterina, en mariage et l'épouse. Il devient le beau-frère de Pouchkine mais il continue ses assiduités auprès de Natalia Goncharova.

Le salon où vivaient ses deux soeurs

Le duel

Je lis dans une note biographique (source) sur George d'Anthès que, s'il est pratiquement inconnu en Alsace, (il est né à Colmar en 1812) il est le français le plus connu de toute la Russie!
La lettre anonyme
Pouchkine reçoit alors une lettre anonyme - en français- le nommant "coadjuteur du grand Maître de l'Ordre des cocus". Est-ce une lettre écrite par d'Anthès pour se venger d'avoir été éconduit par Natalia Goncharova comme l'ont pensé certains? Mais à l'époque tous les nobles parlaient le français et auraient pu écrire cette lettre.  
Pouchkine furieux, écrit au père adoptif de d'Anthès et l'injurie. Sommé de retirer ses insultes, il refuse. Le duel, dès lors inévitable, a lieu le 8 Février 1837 à 4 kilomètres de Saint Pétersbourg. Pouchkine est atteint à l'aine; il tire à son tour et touche d'Anthès au bras. Le poète est ramené à son appartement. Une foule immense se rassemble chez lui en apprenant sa blessure, ses amis sont là, ses pairs, mais aussi les gens du peuple, tous ceux qui veulent lui témoigner un dernier hommage. Il mettra deux jours à mourir dans d'atroces souffrances. Il avait 34 ans!
 George d'Anthès est jugé mais gracié à cause de la gravité de l'insulte faite par Pouchkine à son père adoptif mais il est sommé de quitter la Russie et reconduit à la frontière.
 Et voilà! J'en ai en terminé avec le courrier du coeur mais je vous fais une confidence, moi aussi je hais d'Anthès!

Saint Pétersbourg : Maison-musée de Pouchkine pistolets de duel de l'époque de Pouchkine


George d'Anthès

Le nègre de Pierre le Grand

Hannibal, l'aïeul de Alexandre Pouchkine héros du roman inachevé de Pouchkine Le nègre de Pierre le Grand
Hannibal, l'aïeul de Alexandre Pouchkine

Et je le hais d'autant plus que, à cause de lui, Pouchkine n'a pu terminer le roman dont je vais vous parler : Le nègre de Pierre le Grand. Alexandre Pouchkine raconte l'histoire Ibrahim Hannibal son arrière-arrière-grand père, un esclave noir vendu à Pierre le Grand qui devient son parrain et le prend en amitié. Il l'envoie faire des études dans une académie militaire à Paris. Le jeune homme  rentre ensuite à Saint Pétersbourg où le tsar le reçoit à bras ouverts. Pierre le Grand décide alors de le marier à la fille d'une grande famille qui doit se plier aux désirs du tsar.
Le roman s'achève là pour notre plus grande déconvenue, au moment où l'on commence vraiment à entrer à la cour de Pierre Le Grand, foisonnante de murmures et d'intrigues et à découvrir le Saint Pétersbourg du XVIII siècle.. C'est l'époque où Pierre le Grand, pour punir les nobles moscovites coupables de s'être révoltés contre lui, les oblige à vivre à Saint Pétersbourg, à abandonner leurs vêtements traditionnels qu'il juge archaïques et à adopter des manières de penser et de vivre à l'européenne!

Entre temps, ils* avaient atteint le palais. Un grand nombre de traîneaux longs, calèches démodées et carrosses dorés étaient déjà stationnés sur l’herbe devant l’entrée. Sur les marches se hâtaient des cochers en livrée et à moustaches ; des laquais pressés et rutilants avec des plumes et portant des masses; des hussards, des pages, des heiduques maladroits, embarrassés par les pelisses et les manchons de leurs maîtres, toute une suite indispensable aux yeux des nobles de l’époque. À la vue d’Ibrahim, un murmure général s’éleva de leurs rangs : « Le nègre, le nègre, le nègre du tsar ! » Il conduisit rapidement Korsakof à travers cette foule bigarrée. Un laquais du palais ouvrit toutes grandes les portes pour eux et ils pénétrèrent dans le grand vestibule. Korsakof fut frappé de stupeur... Dans la grande salle éclairée par des chandelles de suif qui brûlaient d’une lueur blafarde dans la fumée du tabac, des hauts dignitaires, les épaules ornées de rubans bleus, des ambassadeurs, des marchands étrangers, des officiers de la Garde dans leurs uniformes verts, des constructeurs maritimes en jaquette et pantalons rayés, allaient et venaient au son ininterrompu de la musique d’instruments à vent. Les dames étaient assises le long des murs, les plus jeunes d’entre elles parées avec toutes les splendeurs de la mode. Leurs robes étincelaient d’or et d’argent ; leurs sveltes silhouettes s’élevaient de leurs monstrueuses crinolines, telles des fleurs au bout de leur tige ; des diamants scintillaient à leurs oreilles, dans leurs longues chevelures et autour de leur cou. Elles jetaient des coups d’œil à droite et à gauche en attendant leurs cavaliers et le début de la danse. Les dames plus âgées avaient fait des prodiges d’ingéniosité pour combiner la mode nouvelle au style du passé désormais interdit : leurs bonnets ressemblaient à la coiffure de zibeline de la tsarine Natalia Kirilovna et leurs robes et mantilles rappelaient dans une certaine mesure les sarafanes et les douchégréïky. Elles semblaient éprouver plus d’étonnement que de plaisir en présence de ces divertissements nouveaux et regardaient avec dépit les femmes et les filles des capitaines hollandais, avec leurs jupes empesées et leurs corsages rouges, qui tricotaient leurs bas, tout en riant et bavardant entre elles, comme si elles étaient chez elles.

*Ils = Ibrahim Hannibal et son ami Korsakof

 

 

jeudi 1 octobre 2015

Saint Pétersbourg : la forteresse Pierre et Paul et la prison

L'ile des lièvres : la forteresse Pierre et Paul
C'est sur l'île des Lièvres, ancienne colonie suédoise annexée par le tsar, que Pierre le Grand décida de construire en 1703 la première forteresse de la ville neuve qu'il voulait construire au milieu des marécages, sur le delta de la Néva, cité qu'il dédia à son saint patron Pierre, d'où le nom de Saint Pétersbourg.
L'île des Lièvres est entourée par la Néva et par un bras du fleuve qui l'encercle. On y accède par deux ponts. Si elle était jadis peuplée de lièvres, sachez qu'elle l'est toujours mais... de statues de lièvres en bronze ou en pierre!
La première forteresse était en terre et en bois étant donné le manque de matériaux solides mais Pierre le Grand n'eut de cesse de la faire rebâtir en solide. C'est la brique qui fut utilisée pour élever les fortifications de couleur rouge qui compte six bastions reconstruits en pierre en 1740.
A l'intérieur se dresse la cathédrale baroque des Saints Pierre et Paul (1712_1733) qui est la nécropole de la dynastie des Romanov. Elle dresse dans le ciel un haute flèche dorée surmontée d'un ange que l'on voit de loin et qui est l'emblème de saint Pétersbourg. Elle s'éloigne de l'église orthodoxe en adoptant des éléments de culte différents et propres à l'église catholique : une chaire, des tableaux, une horloge avec carillon et si l'iconostase est bien orthodoxe, il n'est pas conforme à la tradition. 


Saint Pétersbourg : Un des ponts pour accéder à la forteresse Pierre et Paul
Saint Pétersbourg un des lièvres de la forteresse Pierre et Paul
Saint Pétersbourg la cathédrale  baroques Saints Pierre et Paul et la flèche surmontée d'un ange
La cathédrale Saints Pierre et Paul

Saint Pétersbourg la cathédrale Saints Pierre et Paul l'iconostase peu conforme à la tradition orthodoxe
Saint Pétersbourg la cathédrale Saints Pierre et Paul l'iconostase
Saint Pétersbourg la cathédrale Saints Pierre et Paul intérieur  la chaire rare dans une église orthodoxe, propre au culte catholiquee
Saint Pétersbourg la cathédrale Saints Pierre et Paul la chaire

Saint Pétersbourg la cathédrale Saints Pierre et Paul les nécropole des Tsars Romanov
Saint Pétersbourg la cathédrale Saints Pierre et Paul les tombeaux de la famille Romanov
Saint Pétersbourg : Le bastion Menchikov de la  forteresse Pierre et Paul  d'où part chaque jour à midi un coup de canon.
Saint Pétersbourg : Le bastion Menchikov de la  forteresse Pierre et Paul
Le bastion menchikov d'où part chaque jour à midi un coup de canon.

Saint Pétersbourg  la maison des commandants de la  forteresse Pierre et Paul

 La prison

La forteresse servit très vite de prison pour les opposants politiques. C'est dans le ravelin Saint Alexis  que fut enfermé Dostoïevsky  (et les membres de son groupe Boutachevitch-Petrachevsky) en 1849, avant d'être déporté en Sibérie. Je suis en train de lire Souvenirs de la maison des morts et j'aurai l'occasion d'en reparler ici.  De nombreux prisonniers furent aussi incarcérés au Bastion Troubeskoï, condamnés à mort et ou à la Sibérie par les tsars avant de laisser place aux prisonniers de la révolution de 1917 à 1924, date à laquelle il devint un musée. C'est là que l'on réalise que Staline n'a rien inventé! Il a repris ce qu'ont fait les tsars avant lui. Aussi l'on croit rêver quand on voit le culte voué aux souverains à présent et l'on ne peut que s'indigner quand on apprend que Nicolas II a été canonisé par l'église orthodoxe actuelle!!
Saint Pétersbourg : Le bastion Troubeskoï prison de la  forteresse Pierre et Paul le couloir
Saint Pétersbourg : Le bastion Troubeskoï, prison de la  forteresse Pierre et Paul

Saint Pétersbourg : Le bastion Troubeskoï, prison de la  forteresse Pierre et Paul reconstitution
Saint Pétersbourg : Le bastion Troubeskoï, prison de la  forteresse Pierre et Paul cellule
Saint Pétersbourg : Un des prisonniers célèbres Maxime Gorki bastion Trousbeskoï de la  forteresse Pierre et Paul
Saint Pétersbourg : Un des prisonniers célèbres Maxime Gorki de la forteresse Pierre et Paul
Maxime Gorki fut emprisonné pour avoir adressé une lettre de protestation au tsar "Saint" Nicolas II, condamnant la fusillade qui accueillit en 1905 les ouvriers en grève lors d'une manifestation pacifique avec femmes et enfants. Il y eut mille morts et autant de blessés. On appela cette tuerie "le dimanche rouge".
aint Pétersbourg  : Alexandre Ilich Oulianov, frère de Lénine, condamné à mort , prisonnier au bastion Troubeskoï
Saint Pétersbourg  : Alexandre Ilich Oulianov, frère de Lénine, condamné à mort
Alexandre Ilitch Oulianov  a été un des leaders du mouvement La volonté du peuple qui attenta à la vie du tsar Alexandre II. Il a été incarcéré en 1887 et pendu à la forteresse Schlisselburg.

mercredi 30 septembre 2015

Saint Pétersbourg : La cathédrale du Saint-Sauveur sur- le-Sang-Versé

Intérieur de l' église du Sauveur sur le Sang Versé
L'église du Saint-Sauveur-sur-le-Sang-Versé - ou église de la Résurrection du Christ- porte ce nom  pour rappeler l'assassinat du Tsar Alexandre II à cet endroit en 1881. La construction commença en 1883 sous le règne du tsar Alexandre III en hommage à son père. Les travaux furent longs et coûteux et ne s'achevèrent qu'en 1907 sous le règne de Nicolas II. S'élevant au-dessus du canal Griboïédov, cette église dans le style moscovite russe traditionnel du XVIII siècle est une petite merveille, à l'extérieur, avec ses coupoles chatoyantes, ses mosaïques qui illustrent des scènes de l'ancien testament, les blasons du clocher représentant les provinces, régions et villes de l'Empire; à l'intérieur avec ses 7000 mosaïques réalisées par les plus grands artistes de l'époque qui décorent ses piliers et ses coupoles; elle offre une vision somptueuse, chaude, bruissante d'histoires, de scènes de la vie du Christ, de personnages bibliques.  Un enchantement!

Extérieur de l'église du Sauveur sur le sang versé

La cathédrale du Saint-Sauveur sur- le-Sang-Versé (détail)

La cathédrale du Saint-Sauveur sur- le-Sang-Versé (façade)

La cathédrale du Saint-Sauveur sur- le-Sang-Versé


La cathédrale du Saint-Sauveur sur- le-Sang-Versé (détail)

Le canal Griboïédov
La cathédrale du Saint-Sauveur sur- le-Sang-Versé et canal Griboïédov

Intérieur de l'église du Sauveur sur le sang versé

La cathédrale  Saint-Sauveur sur- le-Sang-Versé ange de l'Annonciation
La cathédrale Saint-Sauveur sur- le-Sang-Versé La Vierge de l'Annonciation



La cathédrale du Sauveur sur- le-Sang-Versé mosaïques
La cathédrale du Sauveur sur- le-Sang-Versé mosaïques des coupoles
La cathédrale Saint-Sauveur sur- le-Sang-Versé Iconostase

La cathédrale Saint-Sauveur sur- le-Sang-Versé porte de l'iconostase


lundi 28 septembre 2015

Saint Pétersbourg : Promenade dans le jardin d'Eté

Le jardin d'Eté
 Le jardin d'été est un promenade agréable et reposante, loin de la rumeur de la ville. C'est Pierre le Grand qui en a fait les plans et comme il le voulait semblable à Versailles, il  lui a donné quelques caractéristiques d'un jardin à la française. Il est ouvert au public depuis Nicolas Ier.

Saint Pétersbourg Le jardin d'Eté : des allées rectilignes dans le jardin aménagé par Pierre Le Grand
Le jardin d'été : des allées rectilignes

Saint Pétersbourg Le jardin d'Eté : la maisonnette du thé
Le jardin d'été : la maisonnette du thé

Statue du jardin d'Eté
Il y avait 250 statues pour la plupart achetées en Italie. Il n'en reste plus que 60. Celles-ci sont des copies.
Fontaine du jardin d'Eté
De nombreuses fontaines sont alimentées grâce à une canalisation ingénieuse datant du XVIIIème siècle.
Le jardin d'été : Fontaine en marbre
Le jardin d'été : Fontaine et statues
Le jardin d'Eté : étang et le palais Mikhaïlovitch en arrière plan