Francisco Goya : peintre romantique espagnol : Le sabbat des sorcières
Une nuit sur le Mont Chauve
Hommage à Modeste Moussorgsky
Mont chauve, solitudes vaines
Passeur blanc des fêtes amères,
Vol de sorcières, sarabandes
Chats ténébreux, Esprit des morts
Démon lubrique, fesse ardente,
Orgiaques, déchaînées, brûlantes,
Bacchantes !
Chevalier, oiseau étoilé
Transfiguré par la lumière
Satan jette des trilles gaies
Il rit dans l'ombre… et attend
pour la cueillir tel un fruit mûr.
Voluptueuses insomnies
Voyages fous et épuisants,
Et l'ivresse, de son sommeil
de sa chanson, trouble la fête.
Insomnies, portes infernales!
Prologue de la vie qui passe,
Matin,
Promesse du soleil, tu viens
effaçant les cris du Mont Chauve
Et les sueurs de son front blême
Tu viens et tu reviens, Matin,
Ecoutant les rires d'enfants.
Et de sa nuit, la jeune Vierge
Au silence des matins bleus
Aux sources vives du torrent
Recommencement incessant,
Et de sa nuit, la jeune Vierge
Efface l'orgie de ses rêves.
Dagan-Bouveret : Marguerite au sabbat
Sur le Thème de La NUIT les mots imposés dans l'atelier d'écritureLes plumes d'Asphodèle étaient cette fois-ci : Vol, chat, transfigurer, chauve, blanc, solitude, silence, matin, se ressourcer, ivresse, ténébreux, épuisant, insomnie, étoilé, fête, rêver, sommeil, voyage, chanson, fesse, recommencement, voluptueux, sarabande, passeur, prologue, pavillon.
J'ai laissé de côté deux mots de côté : pavillon et se ressourcer.
Modeste Moussorsky
Modeste Moussorgsky (1839-1881)
Modeste Moussorsky est un musicien romantique russe (1839-1881). Il étudie la musique de Beethoven avec Balakirev en 1856 et sous son influence décide de se consacrer à la musique.. Il décide alors de quitter son régiment car il était destiné à une carrière militaire. Il rejoint de 1866 à 1869 le groupe des Cinq composé de Borodine, de Rimski-Korsakov, de Balakirev et Cui avec lesquels il s'est lié d'amitié. Ils se fixent pour but de faire de la musique russe un art national en s'appuyant sur le répertoire musical populaire de leur pays. Pouchkine, le poère romantique russe avait ouvert la voie en écrivant ses oeuvres en langue russe (le français était alors la langue de la noblesse) et en puisant dans le folklore populaire. Une démarche commune à tous les artistes romantiques, en particulier les poètes et les musiciens allemands.La nuit sur le mont Chauve (1867), inspirée d'un récit de Gogol La nuit de la Saint Jean, est une de ses compositions symphoniques les plus connues. La musique suit un programme établi : Voix souterraines, apparition des esprits des ténèbres puis de Chernobog (divinité des ténèbres dans la Russie païenne) – Adoration de Chernobog – Sabbat des sorcières – Sonnerie de la cloche du village et évanouissement des apparitions – Aube naissante.
La suite pianistique Les Tableaux de l'exposition (1874) est une autre oeuvre majeure. Mais Moussorgsky est aussi l'auteur d'un des plus grands opéras russes qui célèbre l'âme de la Russie à travers son Histoire : Boris Godounov (1868). Celui-ci fut mal reçu par ses amis du groupe des Cinq; en revanche il enthousiasma Liszt. Le musicien sombre ensuite dans l'alcoolisme mais malgré sa déchéance physique, il écrit un cycle de chants très sombres : Chants et danses de la mort et entreprend un tournée en 1879 avec la contralto Daria Léonova, tournée qui lui redonne le goût de la musique. Il meurt à Saint Pétersbourg en 1881.
Une Nuit sur le Mont Chauve interprétée par l'orchestre d'Aix-les-Bains
Budapest : Opéra national de Hongrie (détail : escalier monumental)
Opéra national de Hongrie
Dans le luxueux décor de l'opéra national de Hongrie, je suis allée voir la Tosca de Puccini avec un distribution hongroise, des solistes à la carrière internationale. Décor, mise en scène et costumes classiques, belles voix. Un beau spectacle. J'ai eu un coup de coeur pour l'interprétation de Scarpia : Quelle classe! Et voilà comment on en arrive à aimer les méchants!
Le théâtre Erkel, le deuxième opéra de Budapest, a été construit en 1911. Il a été rénové en 2007. Il porte le nom d'un grand compositeur hongrois Farenc Erkel et permet d'assister à des opéras, des concerts, des ballets, pour des prix incroyablement bas. 12€ pour le ballet de La veuve joyeuse de Frantz Lehar aux meilleures places et de même pour un opéra. 1€50 pour les places les moins chères.
Je vous donne le lien pour la location des places à la fois à l'opéra national (en moyenne de 40 à 60€ selon les oeuvres, pour les meilleures places) et au théâtre Erkel: http://www.opera.hu/en/opera/musor
La Veuve joyeuse, opérette viennoise très célèbre, tout le monde connaît Heures exquises, est adaptée au ballet et chorégraphiée par Ronald Hint d'une manière enlevée, amusante et brillante. D'excellents danseurs, de beaux costumes, c'est un spectacle léger, gai, colorée et irisée comme une bulle de savon! Très agréable!
Budapest : La Basilique Saint-Etienne : la coupole
Budapest : La Basilique Saint-Etienne l'autel baroque
Budapest : La Basilique Saint-Etienne (détail)
Les concerts de la basilique Saint Etienne sont destinés essentiellement aux touristes. Ils sont plus chers, ils se renouvellent peu (si vous voulez y aller deux fois de suite, vous réécouterez obligatoirement deux ou trois oeuvres du concert précédent) et si vous ne prenez pas vos billets en avance, on vous dira qu'il ne reste que les places les plus chères. Ce qui n'était pas vrai, le soir où nous y sommes allés (comme nous avons pu le constater après l'achat des billets!).
Le concert que je suis allée écouter était pour orgue, flûte et voix. Je n'ai pas aimé la sonorité de l'orgue qui n'était pas celle du grand orgue de la basilique. Mais la flûte a su me toucher. Ceci dit, le décor baroque de la basilique est un cadre merveilleux pour écouter des airs très connus et très aimés : Fantasy in F minor de Mozart, Choral de Ferenc Liszt, Ave Maria de Schubert, Ave Maria de Gounod, Adagio d'Albinoni, L'hiver de Vivaldi, Toccata de Bach, Agnus Dei de Bizet, Fugue on the theme Bach de Schumann... Et j'ai eu plaisir à y assister .
Le musée Ferenc Liszt
Un des pianos de Lizst
Le petit musée de Frantz Lizst est installé dans la maison où il a habité lors de ses séjours à Budapest. On y voit toutes sortes de souvenirs, des lettres, des photographies de sa famille, de ses amis, des tableaux, des objets personnels et bien sûr les pianos sur lesquels il a joué... Une visite à réserver aux amateurs de musique et aux amoureux du musicien.
Caspar David Friedrich : Rivages avec la lune cachée
Chez les romantiques le thème de la nuit et de la lune est récurrent. Il correspond à un attrait pour le mystère et la beauté dans ce qu'elle a de grandiose, de sublime. La nuit est le moment propice aux rêves, à l'abandon, mais aussi aux cauchemars, à l'apparition de personnages aux pouvoirs surnaturels, maléfiques; c'est le décor des contes traditionnels, folkloriques, que le mouvement romantique remet à l'honneur. Pour les romantiques allemands, imprégnés de la mythologie germanique, la célébration de la nuit est un retour aux origines, pour les français c'est un refus du cartésianime, des règles établies, un désir de liberté dans une communion avec la nature. Tous les possibles peuvent s'y réaliser. La nuit est indissociable du Divin, elle est un face à face grandiose avec Dieu. C'est pourquoi les poètes autant que les peintres ou les musiciens ont été sensibles à ce qu'il y a d'insondable, d'illimité dans la nuit. La nuit est le lieu des révélations essentielles, la médiatrice entre l'homme et l'infini, le moment de communication avec le surnaturel. Dans le silence de la nuit et la magie des clairs de lune, on croit percevoir les voix de l'infini; l'univers semble s'agrandir.» La forme poétique du monde (Jankélévitch Le Nocturne 1937)
Caspar David Fiedrich : Lever de lune sur la la mer
Lamartine, Harmonies poétiques et religieuses
C'est une nuit d'été ; nuit dont les vastes ailes
Font jaillir dans l'azur des milliers d'étincelles ;
Qui, ravivant le ciel comme un miroir terni,
Permet à l'oeil charmé d'en sonder l'infini ;
Nuit où le firmament, dépouillé de nuages,
De ce livre de feu rouvre toutes les pages!
Sur le dernier sommet des monts, d'où le regard
Dans un trouble horizon se répand au hasard,
Je m'assieds en silence, et laisse ma pensée
Flotter comme une mer où la lune est bercée.
Livre II, "L'Infini dans les Cieux"(extrait)
Les deux tableaux précédents de Caspar David Friedrich(1774 -1840), un des plus grands artistes de la peinture romantique allemande, associent le ciel à deux moments de la soirée et la mer avec ces barques déployant leurs voiles. Ce sont deux immensités face à face qui prédisposent à la méditation. On remarquera que le peintre a choisi de peindre une mer paisible plutôt que la tempête pour que rien ne nuise à la contemplation et à l'élevation de l'âme.
Dans Le lever de la lune sur la mer, le peintre a placé des personnages, deux femmes et un homme, légèrement surélevés sur un rocher, de manière à ce que leur tête soit couronnée de lumière. Nous sommes à un moment entre chien et loup où les couleurs sont visibles mais atténuées, adoucies. Les barques reviennent vers le village. La nature est paisible et tout invite au repos, à la communion avec le divin. Comme dans le poème de Lamartine, il s'agit d'une méditation poétique et religeuse favorisée par la contemplation. Dans Rivages avec lune cachée, le temps a passé, la lune est maintenant levée, les couleurs se sont assombries, les personnages qui servaient d'intermédiaire sont partis et le spectateur reste seul devant ce paysage encore calme mais empreint de grandeur. Les nuages et la lueur blafarde de la lune laissent entrevoir une part de mystère non dénué d'une possible menace.
« Quand je donne aux choses
communes un sens auguste, aux réalités habituelles un sens mystérieux, à
ce qui est connu la dignité de l'inconnu, au fini un air, un reflet, un
éclat d'infini : je les romantise » Novalis, poète allemand
Ivan Aivazovsky: Clair de lune
Hymne à la Nuit de Novalis
Novalis de son vrai nom Georg Philipp Friedrich, baron von Hardenberg, (1772-1801) est un poète, et romancier allemand romantique. Novalis a rencontré celle qui est devenu pour lui l'Idéal,Sophie von Kühn âgée de 13 ans avec laquelle il se fiance
secrètement en 1795. La mort prématurée de Sophie, survenue en 1797, atteint considérablement Novalis, qui
vécut cette disparition comme une authentique expérience mystique philosophique et poétique. Dans son Journal intime
qu'il tient après la mort de Sophie, Novalis rapporte à la date du 13
mai 1797 l'expérience bouleversante, mélange d'angoisse et d'extase, de
la « vision » de Sophie au crépuscule, auprès de sa tombe à Grüningen.
Cette expérience est à l'origine de l'un des plus grands textes lyriques
du premier Romantisme allemand, les Hymnes à la Nuit. (wikipedia)
Johan Christian Clausen Dahl: Etude des nuages à la pleine lune
Vers le bas je me tourne, vers la sainte, l’ineffable, la mystérieuse
Nuit. Le monde est loin - sombré en un profond tombeau - déserte et
solitaire est sa place. Dans les fibres de mon cœur souffle une profonde
nostalgie. Je veux tomber en gouttes de rosée et me mêler à la cendre. -
Lointains du souvenir, souhaits de la jeunesse, rêves de l’enfance,
courtes joies et vains espoirs de toute une longue vie viennent en
vêtements gris, comme des brouillards du soir après le coucher du
soleil. La Lumière a planté ailleurs les pavillons de la joie. Ne
doit-elle jamais revenir vers ses enfants qui l’attendent avec la foi de
l’innocence ?
Que jaillit-il soudain de si prémonitoire sous mon cœur et qui
absorbe le souffle douceâtre de la nostalgie ? As-tu, toi aussi, un
faible pour nous, sombre Nuit ? Que portes-tu sous ton manteau qui, avec
une invisible force, me va à l’âme ? Un baume précieux goutte de ta
main, du bouquet de pavots. Tu soulèves dans les airs les ailes
alourdies du cœur. Obscurément, ineffablement nous nous sentons envahis
par l’émoi - je vois, dans un joyeux effroi, un visage grave, qui, doux
et recueilli, se penche vers moi, et sous des boucles infiniment
emmêlées montre la jeunesse chérie de la Mère. Que la Lumière maintenant
me semble pauvre et puérile - heureux et béni l’adieu du jour !
*Johan Christian Clausen Dahl (1788-1857) peintre paysagiste norvégien,
ami de Caspar David Friedrich et de Carl Gustav Carus subit l'influence
du romantisme allemand. Il rompt ainsi avec l'académisme norvégien et est considéré comme le père du paysage en Norvège.
Ivan Aivazovsky : Clair de lune
Ivan Aivazovsky, un peintre russe d'origine arménienne (1817-1900), un des maîtres de la peinture de marine romantique même si l'influence du réalisme se fait sentir dans ses oeuvres. Fasciné par la mer, il peint dans ce tableau la mer inondée par la lumière lunaire, translucide, animée par de toutes petites vagues qui lui donnent un mouvement paisible. En jouant sur les contrastes du clair-obscur, le port, les bâtiments, les rochers plongés dans le noir, le ciel et la mer éclairés par les rayons de la lune, il fait ressentir le mystère, l'invisible. Le temps semble suspendu dans le silence de la nuit. Voilà qui me fait penser au poème de Victor Hugo :la lune était sereine et jouait sur les flots. Mais alors que le tableau de Ian Aivazovsky se suffit à lui-même et a pour but de procurer des émotions, Victor Hugo se sert de la lune et la nuit comme des éléments d'un décor pour un récit bien dans la veine de Les Orientales, éléments qui servent de contrepoint à la tragédie pour mieux la souligner.
Clair de Lune Victor Hugo
La lune était sereine et jouait sur les flots. - La fenêtre enfin libre est ouverte à la brise, La sultane regarde, et la mer qui se brise, Là-bas, d'un flot d'argent brode les noirs îlots.
De ses doigts en vibrant s'échappe la guitare. Elle écoute... Un bruit sourd frappe les sourds échos. Est-ce un lourd vaisseau turc qui vient des eaux de Cos, Battant l'archipel grec de sa rame tartare ?
Sont-ce des cormorans qui plongent tour à tour, Et coupent l'eau, qui roule en perles sur leur aile ? Est-ce un djinn qui là-haut siffle d'une voix grêle, Et jette dans la mer les créneaux de la tour ?
Qui trouble ainsi les flots près du sérail des femmes ? - Ni le noir cormoran, sur la vague bercé, Ni les pierres du mur, ni le bruit cadencé Du lourd vaisseau, rampant sur l'onde avec des rames.
Ce sont des sacs pesants, d'où partent des sanglots. On verrait, en sondant la mer qui les promène, Se mouvoir dans leurs flancs comme une forme humaine... - La lune était sereine et jouait sur les flots.
Les orientales
Leonid Tishlov : Private Moon
Avec La ballade à la lune, l'on comprend pourquoi Alfred de Musset était appelé : l'enfant terrible du romantisme : une manière iconoclaste de traiter le thème, une irrévérence qui détruit le mythe, un pied de nez à la spiritualité recherchée dans le mystère de la nuit. Mais quel humour et quelle imagination dans les images! Ce n'est plus un romantique mais un photographe contemporain, le russe Leonid Tishkov, qui se rapproche le mieux de l'univers de Musset dans La ballade à la lune : S'inspirant lui-même de Magritte, Leonid Tishkov raconte dans Private Moonl'histoire d'un homme qui rêve de décrocher la lune et qui y parvient!
Ballade à la lune Alfred de Musset (extrait)
C'était, dans la nuit brune, Sur le clocher jauni, La lune Comme un point sur un i.
Lune, quel esprit sombre Promène au bout d'un fil, Dans l'ombre, Ta face et ton profil ?
Es-tu l'oeil du ciel borgne ? Quel chérubin cafard Nous lorgne Sous ton masque blafard ?
N'es-tu rien qu'une boule, Qu'un grand faucheux bien gras Qui roule Sans pattes et sans bras ?
Es-tu, je t'en soupçonne, Le vieux cadran de fer Qui sonne L'heure aux damnés d'enfer ?
Sur ton front qui voyage. Ce soir ont-ils compté Quel âge A leur éternité ?
Est-ce un ver qui te ronge Quand ton disque noirci S'allonge En croissant rétréci ?
Qui t'avait éborgnée, L'autre nuit ? T'étais-tu Cognée A quelque arbre pointu ?
Car tu vins, pâle et morne Coller sur mes carreaux Ta corne À travers les barreaux.
Les musiciens des Nocturnes
Robert Schumann : Nuit sous la lune
Nuit sous la lune est un lied de Joseph Von Eichendorff, poète romantique allemand, mis en musique par Robert Schumann
Nuit sous la lune C'était comme si le ciel
Avait en silence embrassé la Terre,
Et qu'elle, dans la lueur des fleurs,
Ne pouvait à présent rêver que de lui.
La brise passait à travers champs,
Les épis ondulaient doucement,
Et bruissaient doucement les bois,
Tant la nuit était claire d'étoiles.
Et mon âme ouvrit
Tout grand ses ailes,
Et s'envola par les campagnes silencieuses,
Comme si elle volait vers sa demeure. Franz Schubert : A la lune (An den Mond)
Schubert s'inspire d'un poème de Ludwig Heinrich Christoph Holty 1748-1776), poète allemand connu surtout pour ses ballades.
A la lune (An den Mond)
Verse, chère Lune, verse ta lueur scintillante et argentée À travers le vert des branches, Là où des hallucinations et des formes de rêves Flottent toujours devant moi !
Dévoile-toi, que je puisse trouver l'endroit Où ma chérie s'asseyait, Et souvent, dans le souffle des buis et des tilleuls, Oubliait la ville dorée.
Dévoile-toi, que je puisse faire plaisir aux buissons Qui lui soufflaient de la fraîcheur, Et que je puisse poser une guirlande sur ce pré Où elle écoutait le ruisseau.
Allons, chère Lune, allons, enlève ton voile encore, Et plains ton ami, Et pleure à travers les nuages, Comme pleure celui qui est abandonné !
Voici le quatrième bilan du challenge romantique. Il a commencé le 1er Novembre 2011 et est désormais illimité. Il concerne la littérature,
le roman,
la poésie, le théâtre, les essais, mémoires, biographies, lettres,
pastiches et
parodies... mais aussi la peinture, la musique, le cinéma, bref! tous
les arts.
N'hésitez pas à me dire si j'ai oublié des participations et si vous le souhaitez, il est toujours temps de venir nous rejoindre!
Les écrivains romantiques
Parmi les français : L'écrivain le plus lu est une écrivaine, George Sand que certaines lectrices ont découverte ou redécouverte. Le second qui la suit de près est notre poète national, Victor Hugo!
Buste de George Sand
Victor Hugo
Parmi les écrivains étrangers : Peu d'écrivains parmi les étrangers romantiques et très répartis : Lord Byron en tête, suivi par Marie Shelley et Emily Brontë, Walter Scott, Goethe, Manzoni, Charlotte Brontë, Ann Radcliffe...
Lord Byron
Walter Scott
Merci à tous pour ces lectures partagées! Et si vous avez des titres qui vous intéressent, proposez-les nous en lecture commune!
Les Généralités
La chevauchée de la postérité caricatures des écrivains romantiques
Emoi et Moi : Marianne de ma jeunesse de Julien Duvivier
Un beau billet vibrant d'émotion sur un film adapté d'un auteur allemand : Peter Von Mendelssohn
Carl Blechen, peintre allemand
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Place à la musique!
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